Voilà ! Le pas est franchi et s'il est peut être petit pour le monde de la moto, il est immense pour une marque Harley-Davidson qui fait le pari électrique pour décrocher la lune. Une nouvelle frontière que la Dame de Milwaukee est partie découvrir dans la plus pure tradition américaine.
Avant que le »Captain America » ne pousse tout ça de son bouclier étoilé pour imposer son modèle Harley-Davisdon de 750cc, voici les derniers rejetons que la Dame de Milwaukee nous présente en ce premier trimestre 2014.
Le Superbowl est l'un des événements majeurs sportifs des États-Unis. L'un des plus regardés aussi par les Américains. C'est le bon moment aussi pour les divers constructeurs auto et motos de rivaliser d'imagination pour leurs spots publicitaires qu'ils paient une petite fortune.
Les Harley ne sont faites que pour la ligne droite ? Ca ne penche rien et ça se traîne ? Cette vidéo est l'occasion de revoir votre jugement. D'autant plus qu'elle met en scène les derniers bébés de la marque : les Street.
Ce dernier opus de l'enseigne Icon est comme le cochon : dedans tout y est bon ! Sur une base de 883 Sportster de 1991, les préparateurs ont travaillé la mécanique pour la porter à 1 200cc qui respirent avec des échappements Supertrapp rappelant clairement les canons d'un double coup.
Que les vilains et les méchants tremblent de tous leurs membres. La sortie de l'hiver s'annonce rude et peut être ne verront-ils pas le printemps qui suit. Car le « Captain America » reprend du service et il est affûté comme jamais.
Le dernier Softail de la dame de Milwaukee vaut environ un peu moins de 2 000 euros qu'une Honda F6B qui est une Goldwing dépouillée. Mais on sait que celles et ceux qui succombent aux charmes des Harley-Davidson ne sont pas accessibles à un débat sur la valeur rationnelle de toute chose en ce bas monde.
Pour ses 110 ans, Harley-Davidson a décidé de mettre à l'honneur ses Sportster qui se voient affubés de trois nouveaux modèles.
C'est du moins la solution, pour ceux qui n'ont pas un physique facile, proposée par le concessionnaire new yorkais de la dame de Milwaukee. Une dame, dont la gente, au passage, ne semble pas franchement grandie de ce clip, qui l'estampille comme du poisson à prendre dans ses filets.
La scène commence avec un barbu trentenaire aux yeux clairs sortant d'une étable. Mais pour autant, il n'y a rien de mystique là-dedans, même si l'intéressé suit sa bonne étoile. Appelée « Stellalpina » au passage, ce qui nous replonge dans la réflexion religieuse que la béatitude contemplative du héros semble encourager.
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