Cette fois ça y est, Lorenzo et Yamaha se sont officiellement mariés. C'est Lin Jarvis lui-même qui le confirme. Un contrat de deux ans au montant encore inconnu. Mais il y est dit que sa M. 1 portera le sceau de l'usine. Une précision lourde de conséquence pour Colin Edwards.
Norick Haga espérait beaucoup plus de cette étape tchèque du mondial Superbike. En lice pour le titre mondial, il souhaitait enfin prendre de gros points à l'actuel leader du classement Toseland et dès le début des séances chronométrées tout semblait démontrer qu'il avait les moyens d'y parvenir.
Au top départ, la Sub' s'arrache sans peine. Si dans les premières boucles, Jean-Eric Petit joue du frein à main hydraulique dans le serré, dès que les premiers chronos montreront la proximité entre auto et moto, il ira chercher les secondes en épurant au maximum sa conduite.
Petit, un futur grand ? Jean-Eric Petit est grand. 1m 95. Il est également assez grand au volant en Championnat de France Rallye Asphalte dans sa Subaru Impreza Groupe N puisqu'il remporte son groupe à chaque sortie et vient régulièrement chatouiller plus gros que lui.
Si les aimants du même pôle se repoussent, les « barrés » du pôle d'Alès s'attirent ! C'est comme ça, les gars un peu vrillés du chapeau ont tendance à se réunir naturellement pour se livrer à des joutes de l'Enfer. Juste pour la déconne.
« Je n'ai pas grand chose à dire. Je suis déçu et frustré. » C'est tout ce qu'avait la force de déclarer Troy Corser au soir des deux manches du mondial de Superbike qui se sont déroulées dimanche passé sur le tracé de Brno.
Et oui pour une fois une Yamaha YZF R1 ne tente pas d'arracher notre bon vieux bitume mais a opté pour de la plus rustique et naturelle terre. La preuve en image ici avec un pilote que l'on pourrait décrire comme un tantinet inconscient compte tenu de l'absence totale d'équipement adapté.
Ca s'annonce comme la polémique de cette trêve estivale du Moto GP : la réglementation sur les pneumatiques. Et le débat ne semble pas s'engager sur le thème de la limitation en vigueur, mais plus fondamentalement sur celui de la concurrence entre divers manufacturiers.
Après un Grand Prix d'Allemagne frustrant, Sylvain Guintoli n'attendait pas de miracles pour le rendez-vous américain, sur un tracé atypique qu'il découvrait. Seulement voilà, il ne s'attendait pas non plus à y connaître une telle déconvenue.
Il était arrivé animé avec les meilleures intentions du monde. Aux Etats Unis, il effacerait sa bévue du Sachsenring du week end dernier. C'était annoncé. Seulement voilà, dans la compétition féroce qui se déchaîne à tous les étages du Moto GP cette saison, il semble bien que les occasions perdues ne se rattrapent jamais.
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