Dans sa nouvelle publicité pour le Captur hybride, Renault met en avant des conducteurs qui privilégient la marche ou le vélo !
L'offensive déclenchée par Vladimir Poutine risque d'avoir un impact sur l'industrie automobile et pétrolière française. Et même si le groupe Renault et Total sont plus exposés que réellement menacés, le retentissement de la guerre en Ukraine pourrait avoir de conséquences jusque sur le pouvoir d'achat des particuliers.
L'attaque de l'Ukraine par la Russie aura des conséquences sur le prix du plein, et cela affectera aussi les automobilistes qui roulent à l'éléctrique.
Selon les données de l'Observatoire Coyote Secure, les SUV représentent plus de la moitié des vols de voitures.
Vinci Autoroutes a récemment détaillé à une poignée de médias ses axes de reflexion pour une mobilité décarbonée sur le grand ruban. Le but est louable, les ambitions élevées, mais le tout suppose des investissements pour le moins conséquents.
Renault va étudier la possibilité de se réorganiser en deux pôles, pour séparer les activités liées à l'électrique et celles liées au thermique.
Jusqu'ici, elle le suggérait du bout des lèvres, mais hier, au détour d'une phrase, la ministre de la transition écologique a affirmé que la France devait elle aussi prendre sa part dans la nouvelle ruée vers l'or vert qu'est le lithium. D'autant que l'hexagone regorgerait de ce minerai désormais essentiel.
L'argument écolo serait le principal critère de conversion à l'électrique, devant les économies réalisées à l'usage. Pour autant, une étude montre que celles-ci pourraient être plus importantes encore si les fournisseurs développaient des offres spécifiques, à l'image de ce que pratiquent certains pays voisins.
Euro NCAP a évalué la dotation sécuritaire des utilitaires. Si les fourgons adoptent de plus en plus d'aides à la conduite, celles-ci restent souvent facturées en supplément.
A quoi voit-on que les temps changent en matière automobile? Quand deux études indépendantes l'une de l'autre et publiées le même jour vont dans le même sens à partir de questions différentes. La première nous explique en effet que nous, conducteurs, sommes avant tout préoccupés par l'attitude de nos homologues, tandis que la seconde que les Français ont des a priori de plus en plus positifs concernant la voiture autonome...