Lors de la sortie de la Murcielago, j’avais quelque peu perdu la passion pour Lamborghini. Ses lignes étaient plus classiques, plus contemporaines peut-être, mais il n’y avait plus ce grain de folie des Countach ou Diablo… Et puis est venue la Gallardo qui n’a fait que renforcer ce sentiment. Aussi efficaces soient-elles, ces autos, en étant aussi plus facilement utilisables, n’étaient plus les terreurs absolues du bitume d’antan… Finalement, c’est en 2011 que j’ai retrouvé cet amour pour Lambo.