Nouvelle Infiniti Q60 : les premières images de l'essai en Live + impressions de conduite
Alexandre Bataille , mis à jour
La seconde génération de Q60 débarque sur notre marché. Le coupé d’Infiniti met toutes les chances de son côté pour venir grappiller quelques parts de marché aux ténors allemands : design sexy, suréquipement et motorisations puissantes. Retrouvez nos premières impressions en live.
La seconde génération d'Infiniti Q60 est d’ores et déjà disponible en France à partir de 44 390 € avec le 2.0 T essence de 211 ch, celui que nous avons à l’essai. Les tarifs peuvent grimper à 63 450 € avec le V6 T de 405 ch équipé d’une transmission intégrale. La boîte automatique séquentielle à 7 rapports est fournie d'office sur ce coupé doté de la 2e génération de direction assistée variable en fonction de la vitesse mise au point par Infiniti. Lorsque nous l’avions découvert au dernier Mondial de l’auto, le coupé japonais nous avait séduits par l’originalité de son habitacle, notamment avec ses deux écrans implantés dans la console centrale.
Nouvelle Infiniti Q60 : les premières images de l'essai en Live + impressions de conduite
Vidéo tournée en direct le 3 mai. Replay disponible ci-dessus.
Face à ses concurrents allemands, les Mercedes Classe C coupé et BMW Serie 4, l'Infiniti Q60 propose de série les feux 100% LED, les jantes 19’’, la caméra de recul et le démarrage mains-libres, l'alerte anti-collision, l'avertissement de franchissement de ligne, la lecture des panneaux, l'aide au stationnement avant/arrière, etc.
Premières impressions de conduite
Infiniti a soigné la conception de son nouveau coupé en lui offrant un châssis plus récent, celui de la Q50 (la berline de la gamme). Le compromis comportement/confort proposé ici tient la route. La japonaise aussi rigide qu’un coup de trique reste solidement campée sur ses appuis en courbe sans pour autant rendre la vie de ses passagers impossible. L’amortissement très bien calibré peut s’enrichir d’une suspension pilotée (avec le V6). Cette version animée par un valeureux 2.0 T de 211 ch pourrait être encore plus séduisante si la boîte auto à 7 rapports gagnait en rapidité. Enfin, la Q60 « de base » (44 390 €) reste une propulsion docile qui dandine volontiers de l’arrière train, une fois les aides déconnectées. Globalement, la japonaise Q60 est une voiture ludique à conduire mais pas aussi sportive qu’une BMW Serie 4 par exemple. En cause, son poids important (1 750 kg) et sa direction sans liaison mécanique (elle aussi issue de la Q50) qui n’offre toujours pas de feeling au volant.
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