Toyota Hilux (2021) : les premières images de l'essai en direct
Alexandre Bataille , mis à jour
La huitième génération de Toyota Hilux met à profit son restylage pour s’offrir les services d’une nouveau moteur diesel. Les dessous du pick-up ont également été revus pour renforcer le niveau de confort. Voici les premières images de l'essai.
Lancée en 2015, la huitième génération du Toyota Hilux reçoit aujourd'hui une mise à jour sous la forme d'un restylage important, apportant son lot de modifications esthétiques et mécaniques. Les évolutions visibles sont sur la face avant, avec un bouclier redessiné, de nouvelles jantes 18’’, une teinte inédite de carrosserie baptisée "oxide bronze" et la présence de feux à LED pour les finitions les plus hautes.
Vidéo tournée le 26 février et disponible maintenant en replay.
A bord, le Hilux restylé adopte un nouvel écran tactile 8’’ intégrant les connectivités Apple CarPlay et Android Auto. De série, il reçoit l'ouverture/fermeture et démarrage sans clé, la navigation, la climatisation automatique, l'aide au stationnement avant/arrière et le système audio JBL.
La plus grosse nouveauté est mécanique avec l'arrivée du quatre cylindres diesel 2.8 de 204 ch aux côtés du 2.4 déjà proposé actuellement. Il offre 500 Nm de couple et surtout permet au pick-up de passer les 100 km/h en 10 secondes, soit plus de 3 secondes de moins que la variante 2.4. Toyota propose ce moteur sur les carrosseries cabine approfondie (Xtra Cabine) en quatre roues motrices et en laissant le choix entre une boîte de vitesses automatique à 6 rapports ou une boîte manuelle, à 6 rapports également. D'autres évolutions comme un régime moteur plus bas au ralenti, un différentiel électronique sur les versions 4x2 et des retouches sur la direction et les trains roulants.
Les tarifs débutent à 27 282 € en simple cabine avec le 2.4 D-4D de 150 ch en deux roues motrices. Pour vous offrir les services du nouveau 2.8 D-4D il faudra investir un minimum de 38 742 € en cabine approfondie Xtra Cab. Les versions « Double cabine », pénalisées par un malus écologique de 30 000 € ne sont pas importées en France.
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