Tour à tour spécialiste de l'occasion, mais aussi de nouveautés et essayeur à ses heures perdues, Manuel Cailliot dresse un bilan 2024 tout en nuance et en philosophie. Pour lui, 2024 est une année automobile bien remplie. Mais une année où il a fallu ralentir... Trop.
Aujourd’hui Lionel Bret, rédacteur actualités et flottes, nous livre ses impressions pour l'année automobile 2024 et ses atttentes pour 2025. Actualité, produits, économie, politique... Lionel partage ses coups de cœur et ses coups de gueule.
Les bilans 2024 - Julien Bertaux : "ce n’est pas demain la veille que je passerai à l’électrique"
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Journaliste un peu touche-à-tout à la rédaction de Caradisiac, Julien Bertaux évoque ce qui l'a marqué cette année entre les différents essais et l’actualité. Si l’automobile ne vit pas sa meilleure période, la passion qui l’anime est toujours présente.
L'INFO DU JOUR - Les deux constructeurs japonais pourraient bien convoler dans les prochains mois et constituer ainsi le troisième groupe mondial derrière Toyota et Volkswagen. Une fusion qui pose des questions, chez Renault notamment, toujours actionnaire de Nissan et, au-delà, à toute la planète automobile.
Si les marques américaines de Stellantis se retrouvent sans V8, c’est parce que Carlos Tavares a personnellement insisté pour supprimer ces moteurs. Et les dirigeants de ces marques considèrent que c’est l’une de ses erreurs stratégiques.
Alors que nombre de géants de l'automobile sont dans la tourmente, des marques plus modestes se portent comme un charme. Un pied de nez à la bonne vieille tendance économique qui veut que pour ne pas disparaître il faut se regrouper et grossir ?
L'INFO DU JOUR. Stellantis réintègre les rangs de l'ACEA, le lobby des constructeurs automobiles basé à Bruxelles. Le retour du deuxième constructeur européen donne plus de poids à l'organisme qui milite pour une position plus réaliste vis-à-vis de l'électrification.
L'ACTU DE LA SEMAINE EN PHOTO - C'est le choc des derniers jours : Stellantis annonce le départ de son patron, Carlos Tavares. Une "démission" et des questions qui restent en suspens sur sa succession et l'avenir du groupe. En face, chez Renault, on se félicite des bons débuts de la R5 électrique, mais attention au risque du feu de paille.
L'INFO DU JOUR - Les supputations pour le remplacement de Carlos Tavares vont bon train et certains médias n'hésitent pas à livrer des noms, aussitôt démentis par Stellantis. En revanche, le petit groupe qui s'est formé autour de John Elkann pour gérer la galaxie est connu et, en son sein, un revenant : Richard Palmer.
Pressenti pour prendre la direction du groupe Stellantis en remplacement de Carlos Tavares après avoir contribué au redressement de Renault, Luca de Meo explique qu’il n’a « pas fini le travail ».