Paradoxalement, c’est en zone urbaine, pour les habitants d’immeubles, que la recharge électrique est aujourd’hui la plus malaisée. Un guide tout juste édité présente de façon très détaillée les différentes étapes permettant d’aboutir au déploiement de bornes dans les parkings collectifs.
A partir de demain, 240 000 véhicules Crit’air 4 seront interdits dans le grand Paris, intra A86. Mais surtout d’ici trois ans, douze millions de voitures vont être bannies de 180 grandes villes françaises. On parie que ça va mal se passer ?
Ce mardi, l’Assemblée nationale procèdera au vote solennel du projet de loi Climat & Résilience, élaboré à partir des propositions de la Convention citoyenne sur le climat. Cette loi s’intéresse bien sûr énormément aux transports, et tout particulièrement à l’automobile, au sujet de laquelle certaines mesures ont été durcies. Ainsi, la vente de voitures émettant plus de 95 g de CO2/km prendrait fin dès 2030.
Il y a près d’un an, la pratique du retrofit était autorisée en France. Malgré d’indéniables avantages, celle-ci connaît encore quelques retards à l’allumage.
La mairie de Paris envisage la suppression de près de 70 000 places de stationnement de surface, pour mieux végétaliser les rues et favoriser les circulations douces. Et ce n'est pas tout...
Enquête - Recharge des voitures électriques : comment la France accélère (notamment sur autoroute)
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Le mouvement d’électrification du parc automobile est lancé, mais sa réussite reste notamment conditionnée par le déploiement d’un réseau de recharge digne de ce nom, notamment le long des autoroutes. Des défis que les pouvoirs publics comptent relever dans les deux ans qui viennent, mais qui suscitent encore bien des interrogations.
Selon une étude publiée mercredi matin, l’objectif de 100 000 bornes déployées d’ici la fin de l’année serait trop optimiste.
Avec la multiplication à venir des Zones à faibles émissions, la vie des possesseurs de voitures anciennes pourrait singulièrement se compliquer dans les années à venir. Jean-Louis Blanc, Président de la Fédération française des Véhicules d’Epoque, a décidé de monter au créneau.
Selon une étude publiée ce lundi, les émissions polluantes réelles des motorisations hybrides rechargeables sont tellement élevées qu'il faudrait leur couper toutes les aides à l'achat. La réalité mérite une vision plus nuancée.
On comptera onze zones à faibles émissions l’an prochain, et le dispositif est appelé à s’étendre à toutes les grandes agglomérations d’ici 2025.