La compagnie d’assurance Allianz Trade a publié une étude guère réjouissante pour l’industrie automobile européenne. Elle estime un manque à gagner astronomique si l’Europe ne réagit pas.
Comme la Volkswagen Polo et la Seat Ibiza, la Skoda Fabia risque de ne pas survivre à l’arrivée de la nouvelle norme Euro7 sur le Vieux Continent en 2025. Audi a déjà annoncé la mort prochaine de l’A1, leur cousine.
Le SUV électrique américain parvient même à devancer la Dacia Sandero.
Longtemps réticent sur le 100% électrique, le numéro 1 mondial de l'automobile, sous l'impulsion de son tout nouveau patron Koji Sato, affiche désormais de très fortes ambitions sur la question des modèles "zéro émission".
Le président de la Commission environnement du Parlement européen l’annonce : il faudra que l’Allemagne se montre très persuasive pour convaincre l’Union européenne à accepter le carburant synthétique des voitures thermiques en 2035 sur notre marché.
La mobilité électrique "accessible" se fera, mais probablement dans un délai bien plus long que celui espéré par le pouvoir politique.
L’Union européenne vient de valider l’interdiction de vente des voitures thermiques neuves en 2035. Non, ceci n’est pas le copier-coller d’un précédent titre d’article et en plus, il reste toujours de sacrées zones d’ombre !
Conséquence de l’adoption du carburant synthétique pour 2035 par l’Union européenne, les constructeurs comme Ferrari vont pouvoir rallonger la durée de vie de leurs moteurs thermiques.
Le Conseil de l’Union européenne a enfin réussi à imposer son texte sur l’interdiction de vente des véhicules thermiques neufs en 2035, avec la dérogation obtenue par l’Allemagne sur le carburant synthétique. En revanche, la demande de l’Italie sur les biocarburants semble ignorée.
L’Union européenne a accepté d’autoriser la vente de voitures neuves thermiques après 2035 à condition qu’elles utilisent un carburant neutre en CO2. L’Allemagne a gagné.