Les voitures électriques occupent tout l’espace médiatique, mais la réalité est là : c’est le gazole qui continue de faire rouler la France aujourd’hui, et pour de nombreuses années encore.
En Europe, le nombre de trajets en véhicules partagés a connu une hausse de 76% entre 2020 et 2021.
En janvier, les SUV ont atteint une part de marché record, à 50 %. La voiture la plus vendue reste toutefois une citadine, la Dacia Sandero !
La France et l'Allemagne militent pour décaler la bascule vers le tout électrique, pour l'instant prévue en 2035.
Le 20 décembre dernier, hasard ou coïncidence, à la veille de la Présidence tournante de l’Union, la gouvernance européenne a attribué deux marchés publics aux loueurs Athlon et Arval pour la location de véhicules au service de différents organes communautaires. Il serait question de centaines de voitures et d’utilitaires pour un montant pharaonique de 27,2 millions d’euros.
Pour la première fois, fin 2021, il s'est vendu plus d'électriques que de diesel en Europe.
En 2021, ce sont surtout les « petits pays » et les constructeurs auto à part qui ont le mieux tiré leur épingle du jeu.
Les voitures électriques ont représenté 11,2% des ventes globales en Europe l'an dernier, soit presque deux fois mieux qu'un an plus tôt. Pour autant, la tendance pourrait se tasser en 2022.
C'est presque deux fois plus qu'en Allemagne, et trois fois plus qu'en Angleterre.
Dans une interview exclusive pour Caradisiac, le patron des systèmes d’aide à la conduite du groupe Stellantis évoque les difficultés que pose la mise au point du « super-limiteur » de vitesse obligatoire à partir de juillet 2022.