Le constructeur du groupe BMW Mini a pour habitude de renouveler sa gamme tous les six ans. La firme britannique de l'entité allemande fait néanmoins face à un problème de taille pour planifier sa stratégie économique : le Brexit.
Tandis que les tarifs aux péages sont réévalués ce samedi, comme chaque année au 1er février, le Parlement s'apprête une énième fois à étudier la question de la gestion des autoroutes françaises par de grands groupes privés. C'est le Sénat qui s'y colle cette fois avec une commission d'enquête dont les 21 membres ont été désignés mercredi. Leurs travaux devraient démarrer d'ici une à deux semaines.
Avec le malus WLTP, les véhicules venus de l'Union Européenne seront soumis à des règles basées sur la puissance fiscale, avec à la clé une taxe plus sévère que le barème CO2 appliqué en France.
Ne vous méprenez pas : ce prix ne concerne aucunement un calcul de la cavalerie des modèles de la firme italienne. Il s'agit en effet d'un titre tenant compte de l'impact et de l'aura d'une marque sur le monde entier quel que soit son domaine.
La famille Peugeot, qui détient aujourd'hui 12,23 % du capital de PSA, ne possédera donc mécaniquement plus que 6,12 % du groupe PSA/FCA après la fusion des deux entités, décidée mi-décembre. Mais, confiante dans le succès de cette opération, elle souhaite dès que possible acquérir 2,5 % de plus du nouveau groupe.
FCA et PSA ont confirmé la semaine dernière leur intention de créer une nouvelle entité divisée à 50/50 entre les deux entreprises, mais dirigé pour l'instant par Carlos Tavares, le président de PSA, qui devra de plus désigner six membres du comité de direction contre cinq pour FCA, s'octroyant ainsi donnant ainsi le contrôle des décisions. Mais quelles seront-elles ?
Le projet d'alliance entre FCA et PSA ressemble de plus en plus à une prise de contrôle de Fiat-Chrysler par Peugeot. Mais dans un couple, ce n'est pas toujours celui qui parle le plus fort qui a le pouvoir.
Après un premier semestre 2019 dans le rouge, Tesla a réussi à dégager un bénéfice au troisième trimestre. L'action s'est de nouveau envolée !
"La vague de vandalisme sans précédent constatée en 2018" entraîne, selon le gouvernement, un coup de frein durable dans les prévisions de recettes attendues avec les amendes routières, en particulier avec les radars… Force est de constater aussi que les retards pris dans le déploiement des nouveaux appareils ne permettent pas non plus de maintenir les cadences d'avant 2018. Et si en plus le ralentissement venait également d'un changement de comportement des conducteurs sur la route, comme l'a suggéré la Cour des Comptes, cela voudrait dire que le contrôle automatisé ne paiera jamais plus autant… Mais ça, on ne le saura que lorsque le parc de radars sera rétabli.
Amendes radars, FPS… Les Français sont-ils de mauvais payeurs ?
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Le recouvrement des amendes routières (stationnement compris) est "un système à bout de souffle, au bord de la rupture : taux de recouvrement en baisse, contentieux de masse, fragmentation des acteurs impliqués, confusion des automobilistes, système informatique obsolète…" Les conclusions d'un rapport sénatorial rendu public mardi sont sans appel. Pourtant, dans le détail, le nombre global de titres payés a fortement progressé en 2018.