Rares sont les femmes qui parviennent à se hisser au plus haut niveau dans le monde masculin de l’industrie. Dans le domaine du design, la réussite la plus symbolique reste celle d’Anne Asensio qui enfin donne tort à cette idée reçue selon laquelle les femmes sont confinées dans le studio des couleurs et des matières.
General Motors peine tellement à trouver des personnes à embaucher dans ses usines que le groupe américain pourrait renoncer à tester ses salariés fumeurs de cannabis.
Conséquence pour le moins inattendue de la pénurie de semi-conducteurs : General Motors va retirer le Stop&Start de la production de plusieurs modèles V8.
En 2020, le PDG le mieux payé chez les constructeurs automobiles est toujours une femme. Mary Barra a gagné près de 24 millions de dollars. Les patrons de Ford et Chrysler sont loin, très loin.
Austère et réaliste, le troisième personnage qui tient les commandes du design chez GM, entre 1977 et 1986, n’a rien à voir avec ses prédécesseurs, ce qui ne l’empêche pas de jouer un rôle déterminant dans la gestion des événements lors d'une des périodes les plus difficiles de l’histoire.
General Motors devra se plier aux nouvelles normes en matière de transports. Le géant américain annonce qu'il prévoit de prendre les devants avec l'arrêt de la production de véhicules à "émissions polluantes". Cela concerne donc les diesels et les essence.
De plus en plus de constructeurs automobiles et aéronautique entendent mêler aérien et auto avec la voiture volante. Dernière tentative en date : General Motors. Mais pour l'instant, cela tient plus du concept très abstrait qu'autre chose.
Ce n'est qu'un logo, mais son évolution très importante montre à quel point General Motors veut se réinventer en se tournant vers l'électrique. Même si, pour l'instant, ce sont surtout les gros moteurs à combustion interne qui tirent les ventes.
La patronne de General Motors, Mary Barra, a un avis très tranché sur la voiture électrique. Selon elle, l'automobile à batteries ne pourra pas prendre son envol et remplacer le thermique en parts de marché avant 2040, au mieux.
Quels enseignements la société tirera-t-elle de la crise sanitaire ? Reprendra-t-elle le fil de l’histoire comme avant ou profitera-t-elle de cette alerte pour repartir sur de nouvelles bases ? Les hommes seront-ils plus réactifs après cette alerte qu’ils ne le sont face à la catastrophe écologique toujours latente, autrement plus sourde, plus lourde de conséquences, plus irréversible. Personne ne peut présumer de l’inépuisable aptitude de l’humanité à se reconstruire comme à s’autodétruire. On peut en revanche observer ce qui s’est passé les « jours d’après » les précédentes fractures de l’industrie automobile. Pour démarrer en fanfare, nous revenons sur la crise de 1929.