Les voitures électriques connaissent un succès croissant depuis le début de l'année, mais nombre d'interrogations se posent encore à leur sujet. Financement, asurance, usage, entretien, sécurité...: attendez-vous à certains changements par rapport au monde de la voiture thermique. Caradisiac fait donc le point sur ce qui vous attend dans votre future vie d'automobiliste "propre".
Encore disponible en stock, le SUV familial de la marque au losange fait partie de ces autos totalement anéanties par l'évolution du malus écologique français avec plus de 22 000€ pour sa version diesel en 2024, alors qu'elle vaut 40 000€ après remise. De quoi rendre invendables les derniers exemplaires ?
En septembre, les voitures à motorisation mixte se sont taillées la part du lion sur le marché français.
Le marché français s'électrifie et fait la part belle aux SUV, ce qui se traduit par une forte hausse du prix des voitures neuves...ainsi que par une inquiétante baisse des commandes.
Alors que Tesla veut augmenter au maximum ses ventes, le constructeur américain vient de baisser le prix de ses modèles dans son marché domestique. Chez nous aussi, ces prix devraient encore baisser pour les Model 3 et Y.
Surprise, certains constructeurs automobiles ont augmenté le montant de leurs remises depuis quelques jours. Que vous recherchiez une petite citadine thermique, un crossover compact ou même un gros SUV électrique, il y a des choses intéressantes.
Depuis neuf mois, le marché français se porte bien avec une augmentation des immatriculations, mais attention, cette situation cache une réalité bien différente avec un nombre de commandes en forte baisse.
Il reste encore octobre, novembre et décembre. Et pourtant, le constructeur MG a déjà dépassé les objectifs de vente qu'il s'était fixés sur l'année entière. Il a écoulé 20 827 voitures depuis le 1er janvier, devenant le troisième acteur du marché derrière Tesla, et Peugeot.
Le succès de la MG4 en France se confirme puisqu’elle bat déjà la Renault Mégane E-Tech (et la Volkswagen ID.3 très largement) chez nous.
Après avoir boosté leurs bénéfices sur les voitures neuves, les constructeurs s’attaquent à l’autre grande source de profit qui leur manquait : celle du marché de la seconde main dont ils tirent les prix vers le haut. Adieu la bonne occase.