Volvo a récemment annoncé la fin du développement des moteurs thermiques. C'est désormais le parent Geely qui va s'en occuper, et le géant chinois va collaborer avec Mercedes.
Le marché de la seconde main profite des confinements successifs pour confirmer sa bonne santé. Le nombre de transactions a encore augmenté en octobre (+11%) avec une ouverture certaine aux modèles "propres". Le mois dernier, près de 20 000 véhicules électriques et hybrides ont changé de propriétaire.
Pour la prochaine génération, le Tiguan dans sa version Allspace pourrait disparaître. Il laisserait en effet sa place au Tayron, un modèle actuellement vendu par Volkswagen en Chine, mais (encore) en Europe.
Que va devenir Lamborghini ? La question est posée depuis quelque temps après une rumeur insistante sur une réévaluation de la présence des Italiens au sein du groupe Volkswagen. Herbert Diess, le patron de ce dernier, confirme que des réflexions sont en cours.
La rumeur court que des discussions sont en cours chez Nissan pour vendre les 34 % de parts dans Mitsubishi, ce qui marquerait un retour à 2 dans l'alliance. Mais le constructeur nippon dément.
Quel avenir pour les voitures radar ?
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Aucune statistique officielle ne filtre à leur sujet, si ce n'est la durée moyenne de leur utilisation quotidienne. Car il serait "encore prématuré" de dresser un bilan de ces radars mobiles confiés au privé, dont le processus a démarré en 2017 en Normandie. L'État continue en tout cas d'en acheter, un nouveau marché vient d'être lancé…
L'année 2020 sera décidément l'année de toutes les récessions. Le marché automobile, selon les projections, pourrait finir à 1,55 million d'immatriculations, ce qui serait le chiffre le plus bas depuis... 1975 ! Et dans l'industrie, on craint une perte d'emploi équivalente à 60 000 postes.
Porsche annonce le lancement d'un service qui permet de commander en ligne un véhicule neuf ou d'occasion en stock.
Ne pas tomber dans la situation dramatique d'une marque qui est spécialisée dans l'assemblage de produits industriels, mais qui s'est laissée dépasser par l'avancée logicielle : voilà le combat d'Herbert Diess, le patron du groupe Volkswagen, qui ne veut pas que son groupe ne se retrouve dans la situation de Nokia.
Herbert Diess, le patron du groupe Volkswagen, a annoncé qu'il préférerait que ce soit Joe Biden au bureau de la Maison Blanche pour les quatre prochaines années.