Les relations entre la Chine et l'Europe sont glaciales. En cause : les voitures chinoises qui tentent de s'imposer chez nous. Au même moment, les premières aberrations du malus 2024 apparaissent et la Fiat 500 thermique disparaît.
Dans le cadre du prochain projet de loi de Finances, le chiffre d'affaires convoité de la politique répressive sur la route en 2024 vient d'être dévoilé. S'il se réalise, il flirtera avec les meilleures années, en particulier celle de 2017, jamais égalée depuis, en raison de la vague de vandalisme sur les radars lors de la crise des gilets jaune et l'émergence du Covid. Revue de détails de ce qui est programmé (recettes, nombre de radars, AFD…).
La Commission européenne affirme détenir des preuves de subventions accordées par l’administration chinoise à ses marques de voitures électriques, notamment celles destinées à l’exportation. Et maintenant, que va-t-elle oser faire ?
Entre les principaux acteurs du Grand Prix de France de Formule 1, personne ne veut régler la facture restante de 32 millions d'euros et chacun rejette la faute sur l'autre.
Alors que la Commission européenne prépare une discussion sur la possibilité d’obliger ses états membres à mettre en place des mesures de sécurité pour les automobilistes à partir d’un certain âge, le gouvernement français fait savoir qu’il s’y opposera.
Censé taxer les véhicules thermiques les plus puissants et chers, le nouveau malus écologique français de 2024 condamne toute une catégorie de voitures plutôt destinées aux familles et aux « classes moyennes » désireuses de se faire un peu plaisir. Avec des cas particuliers où le nouveau barème paraît totalement absurde.
Pour que les maires puissent décider de l'installation d'un appareil automatique sur leur commune, encore faut-il qu'un dernier décret soit publié afin que la loi votée début 2022 soit applicable. Ce texte doit fixer « les modalités de dépôt et d'instruction des demandes d'avis » en ce sens. Quand devrait-il paraître au Journal officiel ? On n’en sait toujours rien. Mais il aurait fini d’être rédigé cet été !
La grève entamée par les ouvriers de Detroit se poursuit depuis la mi-septembre. Les futurs candidats à la présidentielle s'en sont emparés et les marques dont les usines ne sont pas impactées profitent des déconvenues de GM Ford et Stellantis.
La vente à "prix coûtant" démarre dès ce vendredi chez Carrefour et Leclerc. Est-ce une si bonne nouvelle pour le pouvoir d'achat et les porte-monnaie ? Au mieux, cela ne fera guère plus de quelques euros gagnés par plein !
En réaffirmant son amour pour la « bagnole » au journal télévisé de 20h, le Président Emmanuel Macron a donné des nouvelles de la fameuse location de voiture électrique à moins de 100€ par mois. Ca arrivera avant la fin de l’année 2023.