Reculade sur la date butoire de ventes de thermiques, interdiction d'importer du graphite chinois pour les batteries américaines alors que les autos de l'empire du milieu peuvent bénéficier d'une subvention si elles sont louées : la politique américaine est dans le flou artistique en matière de VE. Un sujet au centre des discussions d'ici l'élection du mois de novembre.
Le gouvernement italien serait-il en train de faire de l’œil à BYD ? C’est ce que laisse entendre le géant chinois alors que l’Italie chercherait un nouvel acteur sur son territoire.
Le groupe Stellantis vient de signer ce lundi un accord avec Ayvens, une filiale de la Société Générale et leader de la location longue durée et de la gestion de flottes. Les termes de l’accord portent sur l’achat pour la flotte Europe d’Ayvens de 500 000 véhicules d’ici 2026.
Conforté par les excellents résultats du groupe Stellantis en 2023, son directeur général a plus que doublé sa rémunération pour l'année dernière. Il devrait toucher au total 36,5 millions d'euros.
Alors que les constructeurs allemands et américains s'inquiètent de l'évolution des ventes de voitures électriques et que certains font même machine arrière en la matière, Stellantis affirme faire des bénéfices sur la vente de ses autos à brancher et compte même sur ces dernières pour améliorer ses résultats dans les années à venir.
Alors que Stellantis réduit encore ses coûts de production en supprimant des postes, les employés bénéficient au moins de la réussite financière du groupe avec de très beaux bonus pour eux suite à l’exercice 2023.
Après être devenu actionnaire du constructeur chinois Leapmotor, le groupe Stellantis plancherait sur l'industrialisation de ses véhicules en Italie sur le site de Mirafiori. L'objectif serait d'en fabriquer 150 000 par an !
Avec un bénéfice de 18,6 milliards d'euros pour 2024 et une marge opérationnelle de 12,8 % : tout va pour le mieux dans la galaxie de 14 marques. Mais les chiffres auraient pu être encore plus spectaculaires sans le léger fléchissement américain de l'automne dernier.
Quelques jours après la petite phrase du directeur général de Stellantis Carlos Tavares, son président John Elkann précise qu'il n'est pas question de racheter Renault.
Quelques petites phrases lancées par Carlos Tavares le 1er février ont suffi à alimenter le buzz autour d'un nouvel agrandissement de la galaxie Stellantis. Qu'en est-il réellement ? le Franco-Américain peut-il vraiment s'offrir l'un ou l'autre mastodonte de l'automobile mondiale ?