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Jorge Lorenzo a remporté en Italie, sa seconde victoire de la saison et offert à Yamaha sa troisième concrétisation de la saison, dont la seconde de rang après le cinquantenaire dignement fêté par Ben Spies à Assen.
Jorge Lorenzo a remporté en Italie, sa seconde victoire de la saison et offert à Yamaha sa troisième concrétisation de la saison, dont la seconde de rang après le cinquantenaire dignement fêté par Ben Spies à Assen.
Valentino Rossi a toujours le mauvais oeil sur lui. Et ce n'est pas cette pupille géante sur son casque inédit pour ce Grand Prix d'Italie qui va conjurer le mauvais sort. Pour le moment, les performances sont loin de décoller la rétine et il ne s'en sort pas avec une GP11.
Les qualifications du Moto GP pour le Grand Prix d'Italie ont été du même acabit que celles d'une 125 qui s'est choisie pour la première fois notre Johann Zarco comme leader. Une piste acceptable au départ, puis une intensification de la pluie qui a poussé tout le monde aux abris.
A l'occasion de la dernière séance libre avant les qualifications, Jorge Lorenzo a fait valoir ses ambitions de victoire sur un tracé du Mugello que l'on avait peut être un peu trop vite livré à la cavalerie Honda.
Cela se précise pour Sylvain Guintoli. Son nom était cité, hier, dans le paddock du Moto GP installé au Mugello, pour réintégrer son ancienne écurie de Grand Prix Pramac en tant que pigiste d'un Loris Capirossi souffrant d'une violente chute à Assen.
C'est une rumeur insistante qui s'est propagée dans un paddock de Moto GP qui était au chômage technique cet après-midi à cause d'une pluie intermittente humidifiant le tracé du Mugello. Des conditions qui avaient le don de détruire les pneus pluie de chez Bridgestone en moins de tours qu'il ne faut pour le dire.
Le GP125 avait été perturbé, mais c'est le Moto GP qui en a été la première victime. Néanmoins, elle a épargné le Moto 2, qui, contrairement à Assen, la semaine dernière, est l'une des trois catégories de la Dorna qui en a le moins souffert. De quoi ?
Sérieusement malmené en conférence de presse par un Dani Pedrosa revenu au guidon de sa Honda et qui lui passerait bien la camisole, Marco Simoncelli a répondu une fois encore sur la piste en s'imposant lors de la première séance libre d'un Grand Prix d'Italie du Moto GP qui s'annonce également chaud en coulisse.
Qu'on se le dise, au Mugello, il n'y aura pas de calumet de la paix qui sera fumé. La hache de guerre est même toujours déterrée entre un Dani Pedrosa rancunier qui rumine encore contre son bourreau du Grand Prix de France Marco Simoncelli.
La joie de Carmelo Ezpeleta de voir son plateau à nouveau constitué par dix sept pilotes titulaires aura été de courte durée. A l'annonce du retour de Dani Pedrosa dans le box du HRC vient ainsi de succéder la nouvelle du forfait de Loris Capirossi. Pour la première fois depuis bien longtemps, Capirex va rater un Grand Prix d'Italie.
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