Le Monkey chez Honda est un modèle historique qui a permis au blason ailé de faire sa place dans la jungle de la production moto. Son succès lui a même permis de grimper aux arbres avant de disparaître. Mais avec la mode rétro qui perdure, revoilà l’espèce à nouveau d’actualité. Il a fallu un certain temps à Honda avant de lâcher son nouveau singe dont les premiers nouveaux traits ont été vus au Salon de Bangkok en 2016, puis au Tokyo Motor Show de l'an dernier. Cette fois on y est. Et vous savez quoi ? On va pouvoir en profiter !
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C’est une moto ne ressemblant à aucune autre que Yamaha s’apprête à lâcher sur nos routes. Un tripode qui n’a rien d’urbain, mais avec lequel on va pouvoir découvrir de nouvelles sensations et de nouveaux horizons, même à 80 km/h. Voici la Niken qui s’ouvre enfin à vous. Mais attention, la bête va devoir se chasser sur la toile…
Il y a déjà quelques semaines, BMW épaté son monde en annonçant avoir trouvé comment faire un bras oscillant en carbone à moindre coût. Une économie telle que l’on pourrait envisager le matériau noble pour tous et la grande série. Un opus présenté qui a valu aux Munichois un prix. Mais les hommes du blason à l’hélice ne s’arrêtent pas en si bon chemin puisque les voilà à présent sur la brèche avec un cadre imprimé en 3D. Carrément !
C’est une mention dans un document comptable et au milieu d’un rapport fouillis et insipide qui a attiré l’attention. Comme quoi, des choses intéressantes peuvent se glisser dans des bilans annuels, et l’état des lieux établi par BMW semble annoncer un changement de stratégie qui pourrait donner une tendance prochaine du marché. Ainsi, la marque munichoise aurait l’intention de stopper l’extension de la famille R Nine T. La mode rétro aurait-elle vécu son âge d’or ?
C’est un prix qui n’a pas fait trop de bruit, et pourtant, il pourrait être le prélude à une révolution dans la production moto. Jusque-là, avoir du carbone sur sa machine signifiait que l’on s’était saigné pour l’avoir, l’admirer et profiter de ses bienfaits autant sur la rigidité que sur le poids. Mais la voilà que la marque à l’hélice s’est mis en tête de proposer le matériau noble pour tous. Une révolution en marche et c’est maintenant !
Les Chinois ont de l’ambition mais peu de savoir-faire. Enfin, ça, c’est tout de même de moins en moins vrai. Dans l’automobile, ils se placent, ils apparaissent comme des actionnaires incontournables et l’électrification des gammes leur donne l’opportunité historique de ne pas seulement être le premier marché mondial. Mais aussi celui d’être les leaders mondiaux de cette industrie. Et la moto ? On y vient. On monte en puissance. Ainsi, avec Loncin.
Suzuki aime jouer avec nos émotions et titiller notre mémoire pour mieux nous faire souffrir. Car à chaque fois que la firme d’Hamamatsu exhume un de ses noms d’une splendeur qui n’est, certes pas passée, mais tout de même un peu ternie, ce n’est jamais pour aboutir à un modèle digne de la qualification. En sera-t-il différemment avec ce retour en grâce de l’identité tranchante Katana. On l’espère…
Au Japon, il est un Salon de Tokyo qui bat son plein, une vitrine pour l’industrie motorisée locale de montrer sa force et sa vigueur. Chez Honda, on a aussi décidé d’afficher son enthousiasme avec cette version de sa sportive CBR 1000 RR aux couleurs des fameuses 8 heures de Suzuka. Pas mal, mais frustrant car, a priori, on ne l’aura jamais dans les concessions…
Chez KTM on travaille sans relâche sur ses modèles et notamment sur un millésime 2019 qui va devoir faire face aux normes antipollution Euro5. Une nouvelle donne qui ne doit rien enlever au caractère enjoué des machines de Mattighofen. C’est ainsi que l’on teste déjà une 1290 Super Duke R qui relèvera donc le défi imposé par la législation.
C’est l’Arlésienne du segment des sportives mais cette fois-ci, il semblerait que l’on touche au but. Il faut dire que le moment est idéal puisque le modèle fête ses 20 ans. Il s’agit de la Suzuki Hayabusa qui se targuait d’être à sa sortie la première moto de série disponible à atteindre la barre des 300 km/h en pointe. De l’eau a coulé sous les ponts depuis et la concurrence a sorti aussi son artillerie. Il faut donc un nouveau souffle au faucon pèlerin. Ce qui tombe bien…