C'est le genre de nouvelle qui agace car elle alimente le sentiment d'être le dindon d'une vaste farce. Les radars sont ils là pour apporter leur contribution à la sécurité routière où nous mettre à contribution pour financer un Etat et des politiques qui s'écoutent parfois à leur corps défendant sans jamais entendre le mécontentement pourtant de moins en moins sourd de la plèbe ?
Notez le. Entre le 15 au 24 mars l'ambiance entre les usagers de la route devra être se conjuguer sur le thème de la courtoisie. Le mot d'ordre sera même plus précisément « Auto-moto, roulons ensemble… Partageons la rue avec les cyclistes et les piétons.
Les radars que l'on appelle aussi affectueusement les boites à images n'ont pas chômé en 2013. De leur éclairage furtif, ils ont irradié de leur lumière rédemptrice pour les comptes publics pas moins de 19 millions de fois. Je vous laisse imaginer le spectacle que donnerait notre douce France vu d'une navette spatiale.
Il s'en souviendra longtemps de sa lettre à un ponte politique local le jeune Mattew Cutrone. Du haut de ses dix sept ans il avait écrit à un certain Thomas F. Barraga, à peine âgé de soixante dix ans, au sujet de l'accident dont avait été victime sa mère motarde, percutée par un automobiliste.
Pour permettre aux jeunes conducteurs de rouler l'esprit tranquille, Inforad met en place un mode spécifique activable dans le menu de réglage. Pixitis pense à ceux qui viennent d'avoir leur permis en leur donnant la possibilité d'être informés en temps réel des limitations qui leur sont propres.
Avec la limitation à venir des axes secondaires à seulement 80 km/h, le gouvernement et le Conseil national de sécurité routière nous sortent l'artillerie lourde pour nous imposer ce nouvel épisode de punition-taxation des usagers de la route. On devra sans doute bientôt rouler en toutes circonstances à 80 km/h maximum sur route.
La Cour des comptes aime bien mettre son nez partout et remonter tout ce qui ne va pas dans notre système actuel. Dans son rapport annuel qu'elle vient de publier, tout y passe. Et la sécurité routière ne fait pas exception. Point précision sur le volet qui lui est consacré.
La bombe est arrivée par l'association "40 millions d'automobilistes" si s'est penchée sur la question. D'après elle, la sécurité routière se serait trompée sur le nombre de morts sur la route pour le mois de janvier 2014. L'état a annoncé dans son rapport mensuel que chiffres de la mortalité routière étaient stables et en revanche une hausse des accidents graves.
Favorable à la baisse de la vitesse sur le réseau secondaire, Manuel Valls suit la mouvance d'un comité d'experts ayant calculé théoriquement qu'en faisant baisser la vitesse des véhicules en déplacement, cela faisait baisser la sinistralité routière… L'objectif est simple : être sous la barre des 2000 tués sur nos routes en 2020.
La haute juridiction administrative n'a pas confirmé, mais les requérants affirment que la procédure est en cours. La nouvelle limitation de la vitesse sur le périphérique parisien, à présent de 70 au lieu des 80 km/h, va animer le couloir des pas perdus.
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