Une DS au nom de parfum et une voiture qui se mange
la marque premium du groupe Stellantis vient de présenter son nouveau vaisseau. Pourra-t-il sauver le soldat DS ? Quant à la Commission européenne, elle est attaquée de toute part pour ses futures normes et l'échéance 2035. Pourra-t-elle tenir face à la fronde ? Enfin, aux États-Unis, une pâtissière a décidé de manger sa voiture. Pourra-t-on éviter le fou rire ?
Le couperet de 2035 est-il en sursis ?
S'il est un texte qui sent passer le vent du boulet ces temps-ci, c'est bien la règle européenne qui tend à bannir les voitures thermiques au 1er janvier 2035. Le texte est attaqué de toutes parts, assez logiquement par les constructeurs, mais, plus étonnamment, par des élus de Bruxelles aussi. Du côté des industriels, le retour de Stellantis au sein de l'ACEA, l'association qui les regroupe désormais tous, devrait renforcer le lobbying pour tenter de faire tourner casaque à une Commission cernée. Mais la règle de 2035, comme les normes Cafe de l'an prochain sont également remis en cause par le Parlement, du moins par le principal groupe, le PPE qui forme une alliance des droites, et dont Ursula van der Leyen est membre. Si ces deux règles passent l'année, pas sûr qu'elles passent l'hiver.
Retrouvez les derniers épisodes des aventures des voitures thermiques à Bruxelles.
La DS numéro 8 laissera-t-elle dans son sillage un parfum de réussite ?
À chaque nouveau modèle de la marque, on a tendance à se demander si ce n'est pas l'auto de la dernière chance, tant DS peine à s'imposer sur le marché, certes compliqué, du premium. La nouvelle Ds 8, pardon, DS numéro 8 pour revendiquer un luxe français façon Chanel, ne fait pas exception. Olivier Pagès qui l'a examiné cette semaine, trouve que cette "berline - SUV" a un style clivant. En plus elle ne sera proposée (du moins lors de son lancement) qu'en 100% électrique. En ces temps de VE en berne, pas sûr que l'option choisie par Stellantis soit la meilleure pour relancer la marque.
Retrouvez tous les détails de la nouvelle DS numéro 8.
Quand on aime sa voiture, on la mange
L'actualité automobile est parfois totalement surréaliste et Adrien Raseta prend un malin plaisir à en narrer les travers, jusqu'au titre lui-même qui fait tout le sel de ces petites infos, comment dire : folles, absurdes, inutiles, dingues ? Chacun choisira. Cette semaine, nous avons ainsi découvert un étrange OVNI titré "elle mange sa voiture". Et, se fait, une jeune américaine s'est mise à boulotter le levier de vitesse, puis le soufflet et enfin l'accoudoire de son Audi qui, fort heureusement pour son estomac, n'était qu'une pâtisserie.
Retrouvez la pâtisserie automobile en détail et en vidéo
L'Opel Frontera ne sera pas le premier de la classe
Alan Froli, qui, cette semaine s'en est allé essayer le nouvel Opel Frontera ne s'est pas réellement enthousiasmé pour ce cousin du Citroën C3. S'il lui reconnaît quelques qualités, comme ses tarifs légers, son habitabilité affirmé et son moteur zélé, il déplore une finition pas vraiment au niveau, son incompatibilité avec la conduite en ville et quelques à coups de la boîte auto. Au final, ce nouveau Frontera, 3e du nom, ne fait pas mieux que d'autres petits SUV abordables.
Retrouvez l'essai du nouvel Opel Frontera en détail.
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