C'est le mérite (le seul ?) que l'on peut accorder aux représentants de la marque qui ne tentent pas de nous vendre autre chose qu'une auto rebadgée. De fait, puisque l'honnêteté est de mise, la démarche pourra peut-être fonctionner, le client n'ayant pas l'air de se faire berner lorsqu'il franchira le pas d'une concession Lancia.
Ce film publicitaire exprime d'ailleurs fort bien cette transparence en montrant en caution historique non pas une « vraie » Lancia Thema (certes encore moins vendeuse) mais une Chrysler C-300 des années 50 (la première qui apparaît dans le rétro) qui précède une Lancia Flaminia des années 50. Le patron de Lancia étant français, on imagine que le choix du texte récité dans notre langue est une option qui doit recouvrir d'une couche de prestige cette Lancia qui n'a vraiment plus grand chose d'italien dans l'ADN.
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