VOS AVIS SUR LA CATÉGORIE GRANDE BERLINE

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ACQUISE EN 2007 RS 6 , essence de 1996 à 164000 kms porte allègrement ses 243000 kms , c'est ma première AUDI après 8 BMW 323 ET 535 et 2 MERCEDES 300 et 4 matic , toutes acquises neuves et vendues dès les 100 000 KM elle est puissantes (300 cv) increvable , comme un viking , pas de défaut à part une certaine lourdeur qui est inhérente à sa catégorie . Aucune grosse réparation quand elle est bien entretenue.

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Je possède 3 R18 une turbo 81 120 000km mais moteur refait,un break gala GTL de 85 et 250 000km ainsi qu'une GTX 1984 équipé de la climatisation. Fiabilité sans faille pour les 3 entretien de base sauf la GTX qui doit se faire changer la courroie de distribution tous les 5 ans ou 120 000km.Niveau consommation la Turbo (version 110cv a boite courte) et la GTX font un quasi jeu égal avec 8.5 l/100 le break étant plus frugal avec ses 7.5 l/100. La tenue de route est celle d'une auto des années 80 très acceptable sur le sec demandant plus de prudence sur chaussée humide a l'instar de nombres de moderne.Le freinage est handicapé par une nette tendance au blocage des roues arrières et une plongée importante du nez... Bref une auto saine au quotidien mais attention a la rouille et aux exemplaires peu suivi qui pourrait occasionner quelques soucis.Finition assez correct compte tenu de l'année...

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C'est ma voiture de tous les jours, exemple type de la berline de luxe décalée, d'une rare élégance, globalement fiable, et d'un environnement intérieur reposant. Très confortable - mais dont l'amortissement compensé peut rendre mal à l'aise certaines personnes - avec l'avantage de banquettes qui libèrent le corps et apaisent l'esprit. La boite auto au volant est également de ces détails qui dont la différence. L'atmosphère sonore à l'intérieur rappele les TGV, le moteur ne se faisant entendre qu'à l'accélération lorque le contrôleur de croisière veut rapidement gagner la vitesse programmée, et rappele bien la sonorité d'un V8 US (c'est un 6 cylindtres). La consommation est tout à fait raisonnable rapportée au véhicule (de l'ordre de 9/10 litres) mais je roule à la cool. L'équipement comporte l'essentiel d'aujourd'hui mais il y manque l'ordinateur de bord. La commande de climatisation est placée trop bas, et il manque des vide poche aux portières. L'ergonomie est satisfaisante, et la planche de bord est agréablement dessinée malgré le regroupement un peu banal et petit des instruments de contrôle. Si la descente automatique de la vitre conducteur est au programme, la remontée n"y est pas et ce bouton est en plastique de piètre facture alors que tous les autres sont en métal, bizarre. La qualité des plastiques autour des ceintures de sécurité et des pare-soleils sest également assez médiocre. Mais le pire vient du ciel de toit. Refait après plus de vingt ans d'accord, mais sur des nippones de 30 ans et plus, il ne tombe pas! l'habitabilité est grande, et on peut allonger les jambes à l'avant comme à l'arrière. Par contre les repose-têtes avant ne servent à rien en terme de maintien, car ils reculent d'autant qu'ils montent. Le coffre est gigantesque mais pas haut - sauf de seuil - et si profond qu'on y plonge! Le comportement routier est sain mais très souple, du coup la direction paraît trop directe. Mes deux seuls problèmes "mécaniques" répertoriés avec cette voiture sont une sonde de niveau de liquide de refroidissement hs et une difficulté rédhibitoire à bien connecter la batterie (probablement du au changement pour des cosses européennes) Bref pas de quoi changer une telle voiture pour ça même à près de 300 000 kms. En résumé, une voiture de sybarite

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Une Bentley, rien que ça. Le monde de l'automobile classique vous semble soudainement bien fade, l'exception britannique ( même si elle partage sa ligne avec les RR flying spirit ) dans toute sa splendeur, avec cette aura de classe intemporelle. Mais soyons objectif : l'engin ne possède pas une ligne audacieuse. Comme me le confiait un collègue " on dirait une énorme renault 9". Certes, un brin vexé, mais ce n'est pas faux. Ligne tricorps, sans génie. Mais entrez donc à l'intérieur. On sent à l'ouverture de la lourde porte que le constructeur n'a pas regardé au poids d'acier, de bois et de cuir. Ce ne sont pas des sièges, mais des fauteuils. Le tableau de bord a du valoir un procès du WWF. Moteur en route, inaudible. Le 6.75 ronronne, boite auto sur P. Il est temps de prendre la route. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'est pas un foudre de guerre. 200 Cv la dessous, poids de 2.3 tonnes, grosse inertie. Vous êtes dans les temps d'une fiat panda. Mais son intérêt n'est pas de coller les passager aux dossiers. Quant à la consommation, elle est en rapport : comptez 15 litres sans forcer. Attention, madame est large, longue, lourde, les transferts de masse sont sensibles. Vous n'emmenez pas votre grand mère sur le dance floor. Mais si vous n'êtes pas obligé de prendre la voiture au quotidien (de toute façon, elle est garé à coté de la clio "quotidienne", je me vois mal aller au supermarché drive avec ça), les kilomètres se dégustent comme un whisky de 18 ans d'âge. Et pour le prix d'une berline très moyenne pourvue d'inutiles options, vous repartez avec la quintessence automobile. Attention, à acheter avec un dossier d'entretien complet. Si l'entretien "classique" est facilement réalisable et les pièces relativement peu chères, la moindre petouille peut vous flanquer sur la paille pour un bon moment. Certaines pièces ont un prix absolument mythologiques. Et évitez donc de vous garer dans la rue...

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Laguna 2 phase 2 (320 000 kms) Mars 2006. Luxe Carminat 1.9 125 dci BMV 6. Côte : 1700 euros (kilométrage !). La phase 2 est une bon choix car elle profite du manque de fiabilité des moteurs et de l'électronique de la phase 1 en image. Elle est bien entendu beaucoup plus fiable mis à part les lève vitres... Route : Tenue de route excellente, permet de suivre des petite 207, 307 sans soucis dans les petits virages de forêts ! Tout en restant très confortable. Autoroute : Rouler sans se soucier du vent et de la pluie (avec de bons pneus) est un réel bonheur... L'insonorisation est très bonne (meilleure qu'un Scénic 3 mais moins bonne qu'une série 3), le confort est excellent. Les voyages sont un réel bonheur aux 4 places, un cocon qui permet de rouler vite confortablement (Mme ne râle plus lorsqu'elle voit 160 km/h sur le compteur sur autoroute). Consommation : Autoroute : 6,1 l/100 km à 136 au régulateur. Route : 6,5 l avec le pied moyennement lourd. Ville : 9 l. Je conseil ce modèle avec les moteurs : - 1.9 dci 125/130. - 2.0 dci 150/175. - 2.0 T 170 (boîtier éthanol). Sa côte est très basse, sa fiabilité est bonne et ses qualités sont évidentes, c'est un excellent choix !

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Je rêvais de rouler en Classe C W205 depuis la sortie du modèle en 2014. C'est d'abord un coup de cœur pour sa ligne toute en rondeurs. Je craignais un peu confort ferme en finition AMG mais le suspension reste très confortable voire un peu trop souple sur les dos d'âne (sa frotte au niveau des soubassements si on les aborde trop vite). Il est trop tôt pour parler fiabilité (mise en circulation le 26 juin 2019); j'espère ne pas être déçu à ce niveau car c'est ma première allemande. Le moteur OM654 est très performant mais un peu bruyant. La clim n'est pas très puissante (c'est peu être du au fait que c'est le nouveau gaz 123YF qui est utilisé) car il faut la régler au moins sur 20 degrés pour ressentir une vrai fraîcheur. L'équipement est impressionnant (je crois avoir toutes les options sauf le cuir et l'affichage tête haute); même le réglage du volant est électrique. Le freinage d'urgence automatique est trop sensible et freine parfois sans raison ce qui peut créer un accident avec le personne qui vous suis; j'ai donc modifié la sensibilité dans le menu réglages du véhicule. Je conseille fortement l'option éclairage d'ambiance magnifique la nuit tombée. Bref satisfait (pour le moment) de mon achat. Seule la Volvo XC60 aurait pu me détourner de cette sublime Classe C.

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possésseur d'une ISF depuis 6 ans Super content Jamis eu aucun souci On est au moins 10 sur le forum français lexis.com à échanger sur cette super voiture et jamais aucun pb de fiabilité. Aussi je ne comprends pas le commentaire précédent. Le coffre est correct pour une voiture de cette catégorie j'y mets un sac de golf et son chariot sans souci. Petit bémol concerne la contenance du reservoir:64l on passe à la pompe souvent. Le couple moteur v8 5l et sa super boite auto fait des merveilles. Sportive ou Cruise tranquille : très polyvalente D ailleurs on peut cruiser à 9.5l/100 ce qui n'est pas le cas par exemple sur les 911 moteur et puissance inférieur ! Ce qui montre la qualité de conception de cette voiture Elle a une image plutôt discrète mais c'est justement ce qui me convient:elle génère plutôt curiosité et sympathie que jalousie. .. Autre inconvénient: peu vendue en France 100 seulement donc faut être patient pour en trouver en occasion. Mais ça se trouve :-)

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SUR les conseils d'un ami, l'idée était de pouvoir s'offrir une Cadillac moderne pour moins de 10.000 euros. En octobre 2014, je suis donc allé chercher ma Cadillac CTS 2003 à BRUXELLES, chez un vendeur d'occasions multimarques [des branquignoles, à proscrire !!!] : première main, 54.000 km au compteur, moteur 3,2 litres V6 OPEL de 218 ch [ancien moteur de l'OPEL Omega]. Dès les premières semaines, les problèmes d'ordre électronique se sont succédés : modules et capteurs divers sont tombés en panne les uns après les autres . . . . A moins de 100.000 km, mon [excellent] garage VF AUTOMOBILES [Argenteuil 95] a dû changer les étriers de frein AR, ainsi que toutes les plaquettes de frein. Le pare-brise et la lunette AR ont dû être remplacés également : vraiment pas du solide !! Pour information, cette Cadillac [marque réputée Premium haut de gamme] avait été vendue chez Cadillac BRUXELLES à un prix supérieur à 45.000 euros. A ce prix, ils n'ont même pas été capables de vous mettre une colonne de direction réglable en profondeur !!! Le volant est uniquement réglable en hauteur : INACCEPTABLE à ce niveau de prix !!!! Résultat au poste de conduite : je me retrouve avec les genoux qui frôlent la partie basse de la planche de bord !! Pour une voiture américaine Premium, ce constat est lamentable ! Souci d'économie ? Probablement, mais le client qui a payé le prix fort au standard Cadillac ["Standard of the world"] est loin d'en avoir pour son argent $$$$$$ Sinon le gros moteur V6 fonctionne plutôt bien dans son ensemble ET son accouplement avec la boîte automatique est un vrai régal. Côté consommation, en région parisienne, je fais entre 11 et 14 litres : pour un usage quotidien [Daily driver], elle me revient trop cher $$$ Reste la part du Rêve américain : on peut voir cette Cadillac CTS en action dans le film MATRIX RELOADED sorti justement en 2003. ET ses lignes futuristes sont quand même très sympas !!! Cette CTS est une propulsion dotée de son ESP maison.

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Un design original qui réussit en 1987 à moderniser une base de Giulietta (les portes sont reprises) grâce à une ligne en coin taillée à la serpe, avec un cul immense et carré. On adore ou on déteste, mais le coffre est spacieux. Le restiling de 1990 accentue encore le coté pointu de la carrosserie, avec un becquet en plastique qui ceinture toute la caisse et une calandre très réussie. Des détails vintage amusants comme l'alfa romeo control, ou les bulles en plastique qui entourent les vitres avant. L'intérêt principal de la voiture, c'est son moteur enthousiasmant. Juste 122 CV, mais 122 CV totalement enragés dans une caisse très légère. Un moteur à l'ancienne (le mythique bialbero) qui adore prendre des tours, qui ne demande que le conducteur appuie encore un peu plus fort sur l’accélérateur et fasse vrombir la machine. L'autoroute est son terrain de prédilection. Inversement, en ville, la voiture peut apparaître pataude, voire poussive. L'absence de direction assistée est de plus un calvaire à basse vitesse, mais on "sent" particulièrement bien la route après. L'électronique est poétique, la finition intérieure biodégradable, par contre cette Alfa post 1990 ne rouille pas tant que cela (un peu quand même, attention, notamment au niveau des roues arrières, et dans le coffre). A conduire, c'est une propulsion pure et dure, ce qui fait qu'elle est un pour certains un collector. Très sure sur le sec, moins sur le mouillé. A titre personnel, je ne crois pas encore totalement la maîtriser. C'est une voiture de pilote, il faut rester humble et apprendre à dompter la machine. L'impression doit être encore plus vrai pour la version turbo ! Deux ans après son achat, pas de problème de fiabilité mécanique : le bialbero, c'est du solide. Attention au freins arrière qui peuvent se gripper facilement. Pour l'instant abordable dans ces versions populaires (les V6 et turbo se sont déjà envolées). On peut en trouver en bon état pour quelques milliers d'euros, c'est encore cadeau. En Italie, elle est déjà inabordable.

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En fait de Jaguar, c'est une Daimler DoubleSix de 1995 longue. Elle consomme 17 litres à vitesse réduite mais si je veux me faire plaisir en conduite sport, compter plus de 30 litres. En fonction de la consommation, le réservoir est trop petit et doit être rempli avec un petit débit. Le régulateur de vitesse ne fonctionne pas et beaucoup d'instruments liés à l'électronique ne sont opérants que par épisode dont le lecteur CD et la radio. Le moteur semble increvable et très puissant pour une voiture de cet âge, sans vibrations ni hoquets, elle démarre très bien par tous les temps. Le confort est sans reproche même à très haute vitesse avec une tenue de route et accélérations stupéfiantes.