Votre navigateur ne supporte pas le code JavaScript.
Logo Caradisiac    
Publi info

VOS AVIS SUR LA CATÉGORIE MONOSPACE

Rechercher un avis dans la catégorie Monospace

AVIS KIA SOUL

(de 2008 à 2014)

Dernier avis :

J'ai acheté ma voiture en décembre 2016 chez un concessionnaire Renault avec 32 000 km, c'était une première main son propriétaire avait fait une reprise pour s'acheter une Mégane. je ne cherchais pas spécifiquement ce modèle. Après avoir examiné la voiture et son carnet d'entretien ainsi que les factures, je n'ai pas hésité. Quelques semaines après mon achat j'ai eu un soucis d'assistance de direction. La voiture étant encore sous garantie constructeur, la concession Kia à effectué une réinitialisation du capteur qui posait problème. Le problème est réapparu et le remplacement de la colonne de direction s'est fait sous garantie, rapidement et efficacement pièces et M.O. Depuis en 5 ans je ne m'en soucie plus. La fiabilité est remarquable. Cette voiture est simple de conception mécanique. Moteur atmo, distribution à chaine, pas de start and stop, pas de FAP, peu d’électronique inutile ni de phare Xenon ou LED (d'aileurs contrairement à toutes les voitures Européennes que j'ai eu, en 5 ans je n'ai jamais eu une ampoule de grillé). Quand on ouvre le capot, tout est accessible. Je ménage scrupuleusement mes véhicules; conduite respectueuse de la mécanique, conduite très coulée a froid, ne pas jouer de l'embrayage dans la circulation et l'entretien est fait rigoureusement. L'entretien courant est fait par mes soins, vidanges filtres tous les ans en étant toujours en dessous du kilométrage d'intervalle (à chaque 8 000km en moyenne le contenance étant de 3,3l) , liquide refroidissement et liquide de frein tous les 2 ans. Pour l'entretien que je ne peux pas faire, c'est un garage de confiance qui fait le reste. En performance les 126 ch ne sont ni trop ni pas assez pour une conduite normale et calme. L'absence d'une boite 6 oblige à rester à 100 110 sur autoroute si l'on veut gagner 2L/100km. En équipement c'est le strict nécessaire, commande radio au volant, pas de bleutooth, port usb auxiliaire, 4 vitres électriques et retro électriques et dégivrants. De toute façon pas besoin de grands écrans multifonctions qui captivent votre attention au détriment de la sécurité et de la pollution lumineuse généré dans l'habitacle. Le confort est correct, l'amortissement un peu ferme mais offre une conduite rassurante. Le coffre est faible au vu de sa catégorie, de plus le plancher est assez haut cachant un vaste espace de rangement sous le quel on trouve la roue de secours galette. La voiture vieillit très bien, certains estiment qu'elle n'as pas 2 ans en la voyant, elle ne dors que rarement en extérieur, et je la cache du soleil le plus possible dès que je stationne. Point négatif à la peinture ou certains éclats obligent à faire des retouches pour protéger la carrosserie. Mais de nos jours tous les constructeurs sont avare en peinture. Si je devais changer? Je regardes tous les mois les annonces pour trouver la même juste avant le restylage, en noir avec les vitres fumés et le régulateur. Mais je ne trouvant pas une voiture meilleur que le mienne je la garderai le plus longtemps possible.

Voir les 32 avis AVIS KIA SOUL 13D82E7B-D7C7-40EC-BED8-461843F2EA69Voir les 32 avis13D82E7B-D7C7-40EC-BED8-461843F2EA69




AVIS CHRYSLER VOYAGER 3

(de 1997 à 2009)

Dernier avis :

Je possède un Chrysler Voyager 2.4 de 147 chevaux en boite manuelle à 5 rapports, totalisant 177400kms. Rentrons dans le vif du sujet avec la partie mécanique : le moteur est un gros 4 cylindres à 16 soupapes, que l'on par ailleurs dans la gamme Chrysler de l'époque, notamment dans le PT Cruiser. De par sa conception, il délivre tout son potentiel dans les tours, terrain où il offre des reprises tout à fait satisfaisantes ; à l'inverse en revanche, il se révèle très creux en dessous de 2500 tours minute, d'autant pénalisé par le poids de la caisse. Le problème est qu'il est accolé à une boite de vitesse excessivement longue. Si celle-ci permet d'optimiser la consommation à vitesse stabilisée sur autoroute, elle se révèle pénible à l'usage hors des voies rapides, obligeant à jouer en permanence du levier de vitesse sans réellement permettre un équilibre entre surrégime et sous-régime, ce qui impacte les performances comme la consommation. D'ailleurs, on comptera entre 8l/100kms en cycle extra-urbain, et 16l en 100% ville. Si on excepte ce groupe motopropulseur clairement inadapté à l'engin, la conduite se révèle dans l'ensemble très agréable, en particulier pour une voiture aux standards américains. La direction est plutôt précise, l'amortissement parfaitement dosé, et les prises de roulis en virage plus que correctes pour un gros monospace. Les 4 freins à disque couplés à l'ABS procurent un freinage efficace, et l'expérience globale de conduite donne une sensation de sécurité particulièrement rassurante. D'un point de vue aspect et design extérieur, le Voyager est le cliché de la voiture de la "soccer mom" bien connu outre-atlantique : un monospace au style fonctionnel et sans fioritures, dans la veine du bio design aux formes rondes qui dominait les créations automobiles des années 90 et 2000. Et si elle est l'incarnation de l'auto banale aux USA, son look atypique pour nos contrées lui donne un charme indéniable, qui plaira à celui qui veut se démarquer au milieu de la circulation. À l'intérieur, même constat : on retrouve les codes des voitures américaines de l'époque, avec ses formes arrondies omniprésentes et ses afficheurs fluorescents au look rétro. Si l'aspect général donne également cet aspect dépaysant, les plastiques cheap sont légion, et ils vieillissent mal, très mal. En particulier le vinyle de la partie haute du tableau de bord, qui se décolle sous l'effet de la chaleur et des UV, donnant un résultat particulièrement disgracieux. On notera également le traditionnel ciel de toit décollé, auquel peu d'exemplaires échappent. En revanche, une fois installé à bord, on peut enchaîner les kilomètres en toute sérénité. La position de conduite est très bonne : pas trop camionnesque, on domine la route à travers les larges surfaces vitrées. Les sièges avant, bien que manquant de maintien latéral, sont d'un confort absolu, et possèdent tous deux un accoudoir rétractable qui tombe pile sous le coude, tout comme les renfoncements intégrés aux panneaux de portes de l'autre côté. À l'arrière, les passagers ne sont pas en reste : la deuxième rangée offre deux sièges indépendants avec accoudoirs également, et une banquette à trois places occupe le coffre. Le confort est identique, avec la possibilité de régler l'inclinaison du dossier et, petit détail bien américain, la deuxième rangée bénéficie de porte-gobelets intégrés. Si l'on enlève les sièges arrière, au prix de gros efforts physiques malgré les roulettes intégrées facilitant la dépose de ces derniers, on se retrouve avec un volume de chargement très conséquent : environ 2m10 de long sans avancer les sièges avant, pour 1m20 de largeur au point le plus étroit du coffre. De quoi sacrément dépanner pour des déménagements improvisés, et également une belle base pour faire un minivan aménagé un peu original. Côté fiabilité, pour peu que les entretiens aient été suivis, le Voyager 2.4 est solide. Le gros défaut de mon exemplaire actuellement est un claquement au niveau des poussoirs hydrauliques à froid, rien de gênant mais assez désagréable à l'oreille. Attention également à des faiblesses de la courroie de distribution qui peut céder de manière prématurée ; heureusement, il s'agit d'un moteur non-interférent, ce qui signifie qu'en cas de rupture de la courroie, les pistons et les soupapes ne peuvent pas se toucher, ce qui exclut théoriquement le risque de casse moteur : une courroie neuve et ça repart, ce qui est assez rare pour être souligné. Aussi, avis aux mécaniciens en herbe souhaitant débuter en la matière, le Voyager est votre ami : l'espace laissé par ce "petit" moteur pour travailler et la disposition des éléments stratégiques vous permettra d'effectuer des opérations d'entretien courant telles qu'un changement de filtre à huile ou à air comme un jeu d'enfant. En revanche, pour des opérations plus complexes telles qu'un changement de distribution et de pompe à eau, les choses se corseront, mais rien d'insurmontable pour peu que vous soyez équipés d'outils appropriés. En bref, ce Chrysler Voyager 2.4 est un véhicule atypique et attachant qui s'avère robuste, confortable au possible et d'une versatilité à toute épreuve. Pour autant, son ensemble moteur-boite est clairement sous-dimensionné. Vous vous en accommoderez si vous êtes du genre à rouler cool et souhaitez une boite manuelle comme moi ; dans le cas contraire, visez plutôt le V6 qui sera beaucoup plus souple à l'usage. Bonne route !

Voir les 15 avis AVIS CHRYSLER VOYAGER 3 13D82E7B-D7C7-40EC-BED8-461843F2EA69Voir les 15 avis13D82E7B-D7C7-40EC-BED8-461843F2EA69





Rechercher un avis dans la catégorie Monospace

  

Les avis des autres catégories

Dernières vidéos

SPONSORISE

Les derniers articles