VOS AVIS SUR LA CATÉGORIE MOYENNE BERLINE

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Voiture achetée en 2016 pour 1250€, j'en suis à plus de 500€ de frais dedans... Probablement du à un mauvais entretien (4 amortisseurs HS, pneus arrières de 1996 et fuite sur un cylindre de roue). Point positif : elle a moins de 50 000km et je ne suis que son deuxième propriétaire si on exclut la concession dans laquelle elle servait de véhicule de démonstration. Que dire sinon sur cette voiture ? J'aime bien son style et la place à l'intérieur. Le moteur est une antiquité doté d'un arbre à cames latéral qui est un peu trop porté sur la boisson. Il faut vraiment rouler régulièrement et de manière souple si on veut passer sous la barre des 7,5L/100 (record à 6,96). Il consomme plus qu'il n'a de puissance. Quant au châssis... Rien à dire car il est absent. La voiture tient la route mais c'est tout. Je regrette vraiment que Skoda n'ait pas fait une version sport avec un petit 1L6 16 soupapes pour rivaliser avec la Saxo VTS et la 106 S16. Conclusion : plutôt déçu de cette voiture.

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Super voiture, rien a redire consommation correcte pour l’année de la voiture, bonne tenue de route aucun soucis avec attention a la corrosion des bas de caisse et baie de pare brise, mais si traité régulièrement aucun problème Aucun élément électronique donc pas de panne avec! Super content de cette voiture

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Une voiture simple au moteur rageur. Cette 309 GTI de 1987 fut et est encore une révélation. Je l'ai depuis 1991. Certes, la ligne n'est pas top, la finition indigne, mais une bonne habitabilité, un coffre digne de ce nom, et une mécanique plaisante et fiable, je n'ai jamais été immobilisé. Et lorsque je remonte à bord, j'ai vingt cinq ans de moins. Une auto sans filtre, au confort précaire et à la conduite sans filtre... un jouet pour adulte. Une vraie drogue, je ne pense pas la vendre un jour. D'ailleurs elle est en cours de restauration.

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Bonjour à tous, obliger de me séparer de mon Astra, je doit vous dire que j'ai apprécié la conduire toutes ces années, je fais encore environ 140 kms par jours, mais dans une semaine elle ne sera plus en m'a possession, on me propose une somme dérisoire, cette voiture je n'est pas grand chose à lui reprocher, il y a deux ans alternateur, sinon tous les amortisseurs, pot d'échappement, disques de freins avant, les tambours arrière, et même les bougies de préchauffage sont d'origine, alors vous comprenez ma tristesse, voilà je crois que je n'aurais plus jamais une voiture aussi fiable...

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J'ai acheté un Break 111 GPL en janvier 2001. J'avais possédé de nombreuses Lada avant celle-là, qui ne m'ont jamais causé de souci. Mais la 111 GPL fut un désastre en termes de fiabilité et qualité d'ensemble, malgré un style sympa et un coté pratique indéniable. Que dire, après avoir explosé 5 vases d'expansion. Le circuit n'était pas fait pour des montées en température aussi élevées que l'exigeait le GPL. Les vases n'avaient pas été renforcés pour ces versions. Lada France a testé différents vases sur ma propre voiture, pour trouver des solutions. Sinon, le moteur était assez vaillant, et la consommation dérisoire en GPL. Je mettais 17 euros (en 2002) pour faire 400km. Mais le GPL était à 50 centimes à cette époque ! Et en essence , je tournais à 6,5L/100km. très bien. En revanche, les petits tracas quotidiens étaient regrettables pour un produit au design "novateru" après feu la Lada 2104 ! Eau de pluie qui rentrait par le joint de l'antenne et coulait sur ma main, via la vis de fixation du pare-soleil... Comodo clignotants cassé à 1500km. Vitre électrique passager avant HS au bout d'un an Une fermeture centralisée arrière HS Feux arrières qui se remplissaient d'eau et faisaient aquarium et faux contacts. Vibrations intenables sur le train avant entre 90 et 110 (c'est con, on roule souvent à ces vitesses !): 2 trains de pneus changés, parallélisme, disques de freins changés, jantes changées, tout a été fait, mais rien ne s'est arrangé. Je remercie le garage et la direction de Lada France qui pendnant plus de deux ans a tout pris à sa charge, même après la fin de garantie! Allez demander ça à d'autres marques. Malgré tout, comme je suis un peu taré, je continue à adorer les Lada... mais les vieilles, qui elles, ne m'ont jamais donné de souci ! Je lorgne toujours les annonces à la recherche impossible d'une 2103 ou 2106, car je regrette beaucoup celle que j'ai possédé : une 2103 rouge pleines de chromes, à moteur 1500 et intérieur bicolore beige et noir. Au final, la voiture aurait pu être franchement bien si elle n'avait pas été fabriquée de façon aussi bâclée. Heureusement, la Priora semble avoir rectifié tous ces défauts en termes de qualité, dix ans trop tard. Dommage. Pendant ce temps, Dacia a débarqué et a tout rafflé.

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Alors voiture avec beaucoup de problème pompe à eaux 110000km avec roulement vanne gr a 125000km injecteur à 140000km volant moteur à 160000km etc.. les panne arrive après 100000 km généralement la qualité audi a vraiment chuté c est problème là arrive à 80% sur tout les Audi À 3 et la marque Audi le sait donc le groupe Volkswagen fait de gros gestes commerciaux pour sa il sont au top .sinon niveaux confort la voiture et pas mâle esthétiquement aussi dommage . Je précise que la voiture et une Anne 2012 que j ai acheté en 2015 avec 75000km et vendu à 160000km donc j ai fait 85000km avec .je vous recommande vivement de ne pas acheter de modèle similaire sincèrement

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Je suis propriétaire depuis début 2016 d'une Alfa Rome 33 1.5 Ti (105cv) de 1988, avec 78000km au compteur. C'était le modele sportif juste en dessous de la 33 QV 1.7. Ses "plus": - Sa ligne très typée 80's la rend très originale, à défaut d'être sculpturale, dans la circulation actuelle. - L'équipement, sur la Ti, est plutôt soigné: verrouillage centralisé, toit ouvrant, autoradio, vitres électriques, et Alfa Romeo Control (une sorte d'ordinateur de bord). Mais la finition reste moyenne. - Son moteur: s'il y'a bien une raison d'acheter une Alfa, c'est pour sa mecanique, et le Boxer ne déroge pas à la règle. Rageur, il aime monter dans les tours, en vous gratifiant d'un bruit rauque bien sympathique, mêlé aux pétarades de l'échappement. Les deux doubles carburateurs fournissent toujours ce petit "coup de pied au cul" passé les 4000tr/min. Mais le Boxer n'est pas non plus un engin pointu, son couple relatif permet de "cruiser" tranquillement. Et contrairement à beaucoup de rumeurs, c'est un engin très solide, si, comme toutes mécaniques italiennes, l'entretient est fait dans les temps. ses "moins": - Si vous recherchez une berline compacte, maniable et pratique en ville, oubliez de suite: la direction est camionesque, le rayon de braquage n'est pas terrible et le levier de vitesse, problème des Alfa de l'époque, revient à manier une cuillère dans un pot de mayonnaise. Elle demande une "douce fermeté" dans son maniement, afin d'éviter de craquer la boite de vitesse, surtout en seconde. La visibilité arrière n'est pas non plus géniale. - quelques petits pépins électriques, sans gravité heureusement, sont à noter: lève-vitre prenant un jour de RTT pour remonter, essuie glace anémique, verrouillage centralisé en option sur certaines portes, bref des détails qui peuvent agacer au quotidien mais qui ne sont pas handicapants. A ce jour, je n'ai qu'une pompe à essence qui m'a lâché suite a une durite poreuse, donc pour une voiture ayant 28 ans, je ne peux pas trop lui en vouloir. L'Alfa 33 est le parfait moyen de mettre un pied dans monde du Biscione milanais à petit prix. Bourrée de petits défauts mais pleine de caractère, elle peut rebuter comme fasciner les personnes qui aiment les voitures "vivantes". Mais son plus gros atout reste son moteur, une vrai usine à sensation, qui à lui seul peut constituer un motif d'achat.

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Voilà une voiture qui rappelle bien des souvenirs à nombre de Français. Et pourtant, elle a mal commencé dans la vie. Rappelez-vous, "la bonne poire", c'est elle. Ce slogan, sorti tout droit du cerveau enfumé d'un publicitaire, a fortement hypothéqué ses chances de succès. Et pourtant, cette automobile ne manque pas d'attraits, à commencer par sa ligne très originale pour l’époque. Le modèle dont il est question ici est une TL bleu océan de 1981. Elle totalise 56000 kilomètres. Nous l’avons récupérée chez une connaissance il y a quelques jours, afin de la remettre en état « concours » pour participer à la fameuse parade de l’automobile de Mulhouse en Juillet. Son moteur est un 1.2 de 57 chevaux, largement suffisant pour mouvoir les 870 kilos de la bête. Il s’agit par ailleurs du tout premier moteur transversal équipant une Renault. Cette mécanique, étudiée avec Peugeot, est particulièrement moderne pour l’époqu. Ainsi, il est équipé d’un arbre à cames en tête tout aluminium. Il se distingue par une sonorité agréable, reconnaissable entre mille, due à sa transmission moteur-boîte par train d'engrenages. Ce moteur est aussi célèbre pour sa robustesse. Les 200000 kilomètres sont largement à sa portée, pour peu que vous lui apportiez un minimum d’attention. Nous l’avons constaté dès la sortie de garage de la nôtre. Elle n’avait pas roulé depuis 4 ans. Après un petit nettoyage et une charge de la batterie, elle a démarré ! Bienvenu à bord Bien évidemment, l’équipement est réduit, si l’on prend en compte les standards 2012. On trouve quand même un rétroviseur extérieur droit, deux pares soleil, une lunette arrière dégivrante, 2 ceintures de sécurité à enrouleur et une jauge de température d’eau…. A son bord, on oublie toutes les béquilles électroniques et on redécouvre le plaisir de conduire ! Les comodos en bakélite, placés de part et d’autre du grand volant mettent dans l’ambiance. Vive les 70’s ! L’habitacle est spacieux et se distingue par des coloris clairs, ce qui tranche franchement avec la morosité des intérieurs modernes. Les sièges recouverts d’un revêtement de style tweed sont accueillants. Cependant, ils sont trop souples à mon goût. Le coffre est grand et on voit que déjà à l’époque, Renault soignait la modularité : la banquette se rabat et la plage arrière dispose d’un ingénieux système permettant de très rapidement charger un objet un peu haut dans le coffre. Sur la route La voiture n’a pas usurpé sa réputation. La tenue de route est souveraine. Sa suspension à roues indépendante assure un grand confort, en toutes circonstances. La R14 est faite pour le voyage. Le moteur à carburateur possède une pêche appréciable à bas régime, permettant à notre « poire » de s’insérer parfaitement dans le trafic moderne. Les reprises sont satisfaisantes. Nous ne l’avons pas encore poussée à fond, mais je ne serais pas surpris qu’elle aime ça… Le freinage est correct, avec deux disques à l’avant. Notre version est équipée d’une assistance au freinage évitant le blocage de l'arrière en cas de gros coup de patin, grâce à un répartiteur répartiteur de poids. La consommation est raisonnable pour peu que vous vous adoptiez une conduite souple et que…vous n’ayez pas oublié de débrancher le starter ! (Tiens tiens, ça me rappelle un trajet Mulhouse-Belfort en 104, starter à fond. Bilan : à sec après 40 bornes !). La direction, souple et précise, participe grandement au plaisir de conduire cette auto. Attention cependant, la tenue de route se dégrade quand la voiture est trop chargée. L’enfer des mécanos Si il est un point sur lequel la 14 est particulièrement irritante, c’est bien l’ergonomie de ses organes mécaniques : pour peu que vous avez de grosse mimines, la tête de delco est presque inaccessible et les bougies sont compliquées à changer. Il faut une clé spéciale pour le faire ! Laissez donc ce plaisir à votre garagiste... A savoir avant d’acheter Ce n’est pas une légende : la r14 est biodégradable ! La nôtre malgré le fait qu’elle ait toujours couché au garage et peu roulé, n’est pas épargnée. Nous allons traiter tout cela d’urgence ! Avant d’acheter une poire, il convient donc de vérifier bas de caisse, portières, fond de coffre, toutes les pièces de carrosserie en contact avec les joints, les baguettes chromées, le berceau moteur et les points d'ancrage des suspensions arrière. Préférer également un modèle de fin de carrière. Ils sont moins exposés aux problèmes d’allumage que les premières versions. Si vous aimez le sport, C’est la version TS qu’il vous faut ! En bref La R14 est une auto attachante et rarissime sur nos routes. Parfaitement utilisable au quotidien pour peu qu’on l’entretienne un minimum, elle vous procurera beaucoup de plaisir, pour un prix très raisonnable. La principale difficulté… c’est d’en trouver une !

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je roule depuis plus de 10 ans en Peugeot 203 berline (vacances, , expositions, sorties avec le soleil) elle a un look génial ronde belle courbe je la trouve plus jolie que sa grande soeur la 403 . avec un entretien normal (huile boite pont bougies allumage) elle vous amène partout avec son 90 km/h de croisière. les sièges sont confortable (refait en neuf) .j 'ai du mal a lui trouver des défauts.. (la nuit les feux arrières et les clignotants c'est vraiment limite)

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Acheter a 223000 j'ai du m'en separer a 309000 moteur toujours vif. Entretien ridicule, bonne tenue de route. A changer absolument le relais 109 noir d'origine. J'ai eu des coupures moteur en roulant ( vive le tdi ) et le bruit est assourdissant. Voiture que j'ai adorer et malmener mais l'electronique est pas fiable du tout. Ralenti instable, centralisation foutue mais quel plaisir a la conduire.