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Filiale du groupe Schneider, Somua débuta par la production d’engins militaires avant de se consacrer aux camions à l’issue de la première guerre mondiale.

Pour débuter ce nouvel Actu de l’éco, signalons que le patron de Fiat a assuré (c’est Autocar qui rapporte ces propos) que la remplaçante de la Bravo sera très différente, plus « radicale », que l’actuelle…

Kia se présente à Détroit avec un concept beaucoup moins torturé que celui de son cousin coréen Hyundai. Le KV7 fait partie de ces véhicules dont le design est qualifié de 'boxy', eu égard à ses formes cubiques. L'engin, s'il préfigure probablement le futur grand monospace de la marque s'inscrit dans la lignée du Soul.

Samedi dernier, nous avons évoqué l’arrêt possible de l’activité défense de Renault Trucks, filiale de Volvo AB et qui a récemment perdu, face à un autre tandem européen (franco-italien), un important marché avec l’armée de Terre française.

Le 30 décembre dernier nous avions évoqué la fin de « l’affaire » armée de Terre française Renault Trucks Défense (RTD). On s’en souvient, l’armée de Terre roulera bien dans les années à venir avec du matériel combinant Iveco (constructeur italien) et Lohr (carrossier français).

Le saviez-vous ? Si l’ancêtre du type E Citroën, le TUB apparu en 1939, était animé par un moteur thermique traditionnel, il en existait une version électrique, proposée par la firme Fenwick.

Préfiguration de ce qui deviendra Iveco, le rachat d’Unic par Fiat donnera naissance à des camions hybrides constitués de composants d’origines diverses : Fiat, Unic, mais aussi O.M. et Saurer, entre autres.

Le Mercedes Sprinter en tenue de classe. C’est ce que propose le distributeur de Mercedes de Manhattan, à New York (Etats-Unis) avec cette version spéciale dénommée Grand Edition.

Voilà une affaire qui aura traîné. Mais l’armée de Terre française roulera bien en Iveco/Lohr.

Cette campagne de rappel n'est peut-être pas très impressionnante au niveau du nombre de véhicules concernés, mais elle l'est au niveau du soucis technique rencontré par ces Citroën. En effet, une série de C1, C3 Classic et Nemo doivent retourner en atelier, pour tout simplement voir leur bloc moteur remplacé. Rien moins que ça.