Berline réputée pour ses lignes et le plaisir de conduite qu’elle distille, l’Alfa Romeo Giuila bénéficie aujourd’hui d’un petit coup de jeune. Un bon moyen pour ne pas oublier cette berline capable de faire de l’ombre aux allemandes. Essai de la motorisation la plus vendue, à savoir le 2.2 160 ch.
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Essai – Alfa Romeo Giulia JTDm 210 ch Q4 Estrema (2022) : du charme, du châssis mais pas de chant
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Dans un segment en chute libre, la Giulia ne réalise pas les ventes que ses qualités intrinsèques laissaient espérer. Pourtant, après six ans d’une carrière décevante, elle ne baisse pas les bras et se décline en une série spéciale à vocation sportive : l’Estrema, disponible en 280 ch essence et 210 ch diesel. Nous testons cette dernière qui devrait réaliser la majorité des ventes et attirer les gros rouleurs.
À défaut d’obtenir un vrai restylage, la Giulia met à jour son offre. De nouvelles technologies, des coloris inédits et quelques aménagements suffiront-ils à replacer la berline d’Alfa Romeo dans la course ? Essai au volant de la version 2.2 diesel de 190 ch.
Nous avons essayé l'Alfa Romeo Giulia en long en large et en travers. Essais qui vous intéressent à chaque fois, ce que le niveau des ventes en France ne reflète pas. Mais un modèle était passé entre les mailles de notre filet : le diesel d'entrée de gamme. Faut-il le recommander ? Cet essai répond à la question.
La Giulia est, de l'avis de tous, l’un des modèles Alfa les plus réussis, mais c’est aussi l’une des appellations mythiques de la marque italienne. Impossible dans ces conditions de ne pas l’inclure dans les neuf voitures ayant participé à notre voyage en Italie long de 3 000 km réalisé sous une chaleur de plomb. Un retour aux sources inédit.
Nous n'avions pas encore testé la Giulia, déjà essayée en diesel et dans des versions essence plus puissantes, avec le moteur d'entrée de gamme carburant au sans-plomb, le 2.0 TB 200 AT8. Est-il à éviter ? Ou au contraire digne d'intérêt ? Voici notre avis.
La gamme Giulia s’enrichit d’une version à vocation sportive qui adopte la très suggestive appellation Veloce. Parmi ses spécificités, quatre cylindres et autant de roues motrices, une boîte automatique à 8 rapports, 210 ch pour la version diesel, et 70 de mieux pour la version essence qui nous intéresse aujourd’hui.
Après un premier essai concluant réalisé avec le 180 ch diesel, nous nous intéressons maintenant à la version cœur de gamme diesel de 150 ch. Est-elle suffisante pour la nouvelle berline italienne ?
Il aura fallu attendre pas moins de cinq ans pour revoir une berline dans la gamme du constructeur Alfa Romeo depuis l'arrêt de la 159. Mais pour les plus extrémistes des aficionados de la marque, il faut remonter à près de 30 ans pour retrouver un modèle digne de ce nom, en la personne de la 75. La raison est simple : la 155 qui a remplacé cette dernière est passée de la propulsion à la traction, ce que beaucoup ont considéré comme une perte d'identité inexcusable. Jusqu'à aujourd'hui, où Alfa présente la Giulia et ses roues arrières à nouveau motrices.
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