Coup d'arrêt pour la politique gouvernementale en matière de sécurité routière avec une hausse de 5.2% du nombre de morts sur le mois de mars après 14 mois consécutive de baisse.
Cette hausse si elle devait se confirmer empêcherait le gouvernement de réaliser les objectifs qu'il s'était fixé à savoir passer sous la barre des 5000 morts.
La dernière augmentation du nombre de tués remontait à janvier 2004, mois également marqué par la première progression du nombre des accidents graves depuis mai 2002.
Heureusement pour Gilles de Robien, ce bilan du mois de mars n'est pas totalement mauvais puisque le nombre de blessés a baissé de 4.5% et celui des accidents corporels a diminué de 4.9%.
Pour expliquer cette situation, le ministre n'a pu s'empêcher de faire le lien avec l'augmentation des vitesses enregistrées récemment.
L'action gouvernementale connaîtrait-elle ses limites? Réponse, le mois prochain...
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