Les premiers à avoir subi ces attaques de hackers furent les Tesla après que le patron Elon Musk eut incité financièrement les informaticiens les plus hardis à tenter des intrusions. L'objectif était justement de détecter les failles afin de les colmater.
Cette fois-ci, c'est l'automobile club allemand ADAC qui a identifié une importante faille de sécurité dans le système Connected Drive utilisé dans le groupe BMW que ce soit dans les voitures de la marque comme dans les Mini ou les Rolls-Royce. Cette faille mise à jour permettait de déverrouiller les portes de plus de 2,2 millions de véhicules construits entre mars 2010 et décembre 2014, date à laquelle un « patch » a été proposé aux clients.
D'après BMW, cette faille ne touchait pas les organes essentiels comme la direction ou le freinage mais plusieurs experts en cybersécurité mettent en garde depuis des années les constructeurs automobiles accusés de ne pas avoir pris la mesure de la vulnérabilité de leurs systèmes embarquées. Voiture connectée, voiture piratable ?
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