Elles font face à face sur le stand Bugatti, la première et la dernière, l'alpha et l'omega, comme une sorte de miroir inversant les couleurs. D'un côté, la toute première Veyron, 1/450, rouge et noir, de l'autre la toute dernière, 450/450, noir et rouge (tirant sur le bordeaux).
Il s'agit d'une Grand Sport Vitesse, comprenez par là que son toit est amovible, et que son W16 8,0 l à quatre turbos, cathédrale mécanique comme on n'en verra probablement plus jamais, a été poussé jusqu'à 1 200 ch et 1 500 Nm. Elle mêle donc des carbones noir et rouge à des jantes mélangeant les mêmes couleurs, avec des inscriptions « La Finale » à l'avant droit. L'habitacle quant à lui est un mélange de carbone rouge et de cuir cette fois-ci beige.
Inutile de préciser le prix, puisqu'elle est déjà vendue à un client du Moyen-Orient, mais retenez seulement que les 450 Veyron se sont échangées en moyenne contre 2 millions d'euros. Que nous réserve Bugatti pour la suite ? Probablement encore plus puissant, plus rapide et encore plus cher, mais ça, ça sera une autre histoire.
L'instant Caradisiac : et sinon...
… elle était française ou allemande finalement, cette Bugatti Veyron ? Je n'ai jamais vraiment su (restez courtois dans votre débat, merci pour les modérateurs).
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