Pour expliquer ce paradoxe, il faut rappeler que les résultats de 2013 avaient été floutés par la cession de parts restantes dans le groupe aéronautique européen EADS, devenu depuis Airbus Group. Alors, certes, le bénéfice net du groupe est cette fois de 2,1 milliards d'euros, contre 2,8 milliards un an plus tôt. Mais, dans le même temps, les ventes ont bondi de 4% à près de 629.000 unités, si bien que le chiffre d'affaires au deuxième trimestre a progressé de 6 % à 31,5 milliards d'euros.
Une conjoncture qui fait dire au patron Dieter Zetsche : "Nous croissons de manière rentable, notre stratégie porte ses fruits". Rendez-vous est pris pour la fin de l'exercice où une "nette hausse" des ventes, du chiffre d'affaires et du bénéfice opérationnel à périmètre constant sont attendus.
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