En bref

A partir de 17 450 €

Nouveau 3 cylindres Turbo

Toit ouvrant en toile

Arrivée bonne dernière (2012) sur le marché des citadines « fashion », l’Opel Adam avait comme ambition de venir jouer sur les terres de la Fiat 500. Cette arrivée tardive combinée à une très mauvaise communication de la part de la marque a logiquement abouti à un petit bide commercial : 3 834 immatriculations d’Adam contre près de 20 000 pour les Fiat 500 et Citroën DS3 en France en 2013.


Essai vidéo - Opel Adam Rocks : seconde chance

Cet échec n’est pas mérité puisque l’allemande fait partie, selon nous, des meilleures de sa catégorie. Sûr de son produit, Opel tente une deuxième fois sa chance. Voici l’Adam Rocks. Une version bling bling très lookée 4x4 qui devrait cette fois-ci relancer l’intérêt de la clientèle. Cette variante reprend le gabarit réduit de l’Adam (3,69 m) en y ajoutant une garde-au-sol surélevée (+15 mm), des protections spécifiques, un toit rétractable et surtout un très fort niveau de personnalisation. L’Adam Rocks crée ainsi un tout nouveau segment : celui des « mini » crossovers urbains. À l’heure actuelle, sur le marché il n’y a aucun équivalent.


Essai vidéo - Opel Adam Rocks : seconde chance


Pour donner à l'Adam Rocks un caractère plus trempé, Opel reconduit, et même renforce, le niveau de personnalisation de son modèle. Ainsi, il est possible de combiner différentes teintes de pavillon, de carrosserie, de rétroviseurs, de calandre et de jantes. Au total, 18 coloris de carrosserie seront proposés. Comme Fiat avec la 500, ou Citroën avec la DS3, Opel propose un catalogue de combinaisons infini. À l’intérieur, même combat, le volant, le levier de vitesses et la sellerie reprennent les teintes extérieures. Hormis cela, le cockpit reste strictement le même que celui de l’Adam originelle. Autrement dit bien fini, moderne et très plaisant. De nouveaux décors font aussi leur apparition. Rappelons qu’il est possible de changer le mobilier de l’Adam. Moyennant 100 €, vous pouvez remplacer le bandeau de planche de bord, la partie inférieure de la console centrale et les panneaux de portes. Côté habitabilité, l’allemande ne fait pas de miracles avec des places arrière anecdotiques (genoux et tête), limite inconfortables pour un adulte, et un volume de coffre digne d’une boîte à gants (170 litres).


Essai vidéo - Opel Adam Rocks : seconde chance
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