Après le GP d'Italie et la sanction infligée au Champion du Monde en titre Fernando Alonso, le patron de l'écurie Renault Flavio Briatore avait lâché quelques phrases assassines à l'encontre de la FIA et du sport automobile en général. Après coup et devant le nombre d'articles parus à ce sujet dans la presse spécialisée, le bel Italien avait rétorqué que ses paroles avaient été sorties du contexte. Cependant, la FIA avait tout de même pris bonnes notes de la réflexion de Flavio Briatore à la télévision italienne : « En comparaison avec la F1, le scandale du Calcio me fait sourire », en référence au scandale de corruption qui a frappé le championnat professionnel italien de football. Après une longue voir très longue enquête, la Fédération internationale de l'automobile (FIA) a décidé de ne pas sanctionner Flavio Briatore. Le président de la FIA, Max Mosley, a affirmé à Autosprint que la FIA avait tenu compte du fait que les propos de M. Briatore et du pilote Fernando Alonso avaient été tenus « à chaud ». Ils ont laissé leurs émotions prendre le dessus. Considérant les circonstances, il faut parfois faire preuve de tolérance. Il s'est vite repris et a corrigé le tir. » M. Mosley a conclu que les propos de Flavio Briatore n'avait pas, selon lui, nui à l'image de la F1 et que le dossier était définitivement clos.
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