C'est du moins ce qu'il ressort à l'étude d'une déclaration faite par le sémillant transalpin au sujet de ses relations avec l'iconique Scuderia Ferrari: « J’aime battre Ferrari mais quand mon équipe ne gagne pas, étant Italien, je soutiens évidemment Ferrari. Mais je ne pense pas que j’irai travailler à Maranello car dans deux ans j’arrêterai. » Une estimation au parfum de bonne nouvelle, à différents titres.
Les mauvaises langues diront que de voir ainsi partir Briatore aura au moins autant de valeur que celle exprimée récemment par Ecclestone au sujet du repli de Honda. Mais justement, à ce propos, d'aucuns pourraient décrypter là l'intention du losange de toujours s'impliquer dans une Formule 1 qui tremble à l'idée de perdre encore une de ses ouailles avant le lancement de sa campagne 2009. Par les temps qui courent, il faut bien se raccrocher aux branches qui se présentent.
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