Actuellement, les équipes de F1 tournent sur le circuit de Barcelone en essais. L'équipe Renault y teste de nombreuses nouveautés cherchant à remettre l'écurie dans le top 5 de la discipline et accessoirement pour satisfaire un double champion du monde qui n'hésite plus à mettre la pression sur son équipe.
Au rang des nouveautés, la R28 a étrenné un capot moteur hérité de l'équipe cousine, Red Bull, manifestement plus performante sur les premiers Grand Prix de la saison. Mais le début d'une explication de la méforme de Renault est sortie dans les magazines sportifs espagnols.
Selon eux, le retard flagrant de Renault trouve son origine dans l'affaire d'espionnage de l'intersaison. Non pas celle entre Ferrari et Mclaren mais celle entre McLaren et Renault. Les 'gris' accusaient un ancien ingénieur, Phil Mackereth, d'être parti de Woking pour Enstone avec quelques CDs en poche.
Les accusations rendues publiques avaient provoqué le début d'une enquête de la FIA prouvant effectivement que Mackereth avait bien emporté quelques secrets de la MP4 22 avec lui. Renault a joué franc jeu et ouvert ses portes (et sa monoplace) aux inspecteurs pour éviter la sanction, avec succès.
Mais les conséquences de cette affaire sont apparemment plus graves qu'il n'y parait. Ainsi, au moment de mettre la R28 en piste, de nombreuses nouveautés envisagées, notamment le système de suspension "Mass Damper évolution" qui était présent sur la McLaren de l'an dernier, n'ont pas été montées sur la monoplace tant que l'incertitude sur une éventuelle accusation de plagiat n'était pas levée. Melbourne et les courses suivantes nous apprendront que ce fut une énorme erreur car un retard de début de saison ne se rattrape quasiment jamais
Où quand la malédiction McLaren poursuit Fernando ...
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