Nelson Panciatici a enfin pu revoir un drapeau à damiers dans une première saison de GP2 où il n'est pas épargné par les ennuis. La deuxième course du Nürburgring lui a offert cette intense satisfaction, de même que sa voiture, qui a enfin tenu le minimum syndical. La pluie du début d'épreuve a irrigué les ambitions du Français parti avec les réglages pour piste détrempée.
Si les temps au tour se sont révélés d'entrée enthousiasmants, ils se sont ensuite calmés, au fur et à mesure que les cieux devenaient plus cléments et que le tracé s'asséchait, alors que le trafic s'est aussi chargé de calmer les ardeurs du pilote Durango.
Néanmoins, ce qui était acquis en entame d'épreuve n'était plus à prendre et c'est à la treizième place que Nelson franchissait la ligne d'arrivée, profitant aussi des échauffourées de dernière minute de ses adversaires, qui ont eu la bonne idée de s'éliminer. « On est treizième avec une voiture enfin redevenue fiable » lançait un Nelson soulagé en quittant son baquet. Dans deux semaines, c'est un autre Ring qui l'attend, celui de Hongrie.
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