Une année en fait tellement positive que les mauvais élèves du côté négatif se comptent sur les doigts d'une seule main. Voire même moins si l'on enlève les mourants tels que Chevrolet (- 91,2 %, 3 201 unités) et Lancia/Chrysler (- 13,7 %, 61 540 unités) puisqu'il ne reste au final que DS (- 11,7 %, 73 371 unités), Alfa Romeo (- 2,6 %, 55 501 unités) et Honda (- 0,7 %, 125 834 unités).
Pour le reste du marché, c'est l'École des Fans : tout le monde a des bonnes notes. Il convient donc de se focaliser dans un premier temps sur ceux qui sont au-dessus de la moyenne, comme Renault (+ 10,9 %, 957 391 unités), BMW (+ 10,6 %, 714 386 unités), Mercedes (+ 12,6 %, 707 046 unités), Fiat (+ 12,2 %, 647 356 unités), Nissan (+ 16,8 %, 539 982 unités), Hyundai (+ 11,4 %, 456 926 unités), Volvo (+ 13,0 %, 268 404 unités) ou encore Mazda (+ 21,4 %, 195 293 unités).
Puis viennent donc ceux qui naviguent entre deux eaux, entre le zéro et la moyenne, comme l'intégralité du groupe Volkswagen (Volkswagen à + 6,3 % et 1 657 195 unités, Audi à + 5,7 % et 738 051 unités, ou encore Skoda à + 6,1 % et 588 104 unités) à l'exception notable de Porsche (+ 25,7 %, 50 543 unités), du groupe PSA (Peugeot à + 9,1 % et 937 752 unités, Citroën à + 4,8 % et 537 696 unités) sauf DS donc, ainsi que Ford (+ 8,6 % et 999 224 unités) ou encore Opel/Vauxhall (+ 6,3 %, 925 115 unités).
Immatriculations européennes à + 9,3 % en 2015 : PSA à + 6,2 %, le groupe Renault à + 9,2 %
Source chiffres : ACEA
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