Carlos Tavares est maintenant à la tête opérationnelle de PSA. Rôdé aux lois du low cost, l’ancien numéro un opérationnel de Renault n’a pas dû mettre longtemps avant de s’intéresser de près aux comptes détaillés des Citroën C-Elysée et Peugeot 301. Certes, officiellement, les chiffres de production et de vente sont flatteurs pour un duo qui ne joue pas exactement sur le terrain du low cost ; pas du tout même, ce qui ne joue peut-être pas en faveur de sa rentabilité quand bien même le geste serait louable.


En d’autres termes, il se dit que le duo ne serait pas rentable financièrement. C’est en tout cas ce que sous-entendait récemment Carlos Tavares à mots à peine couverts à nos confrères du Figaro. Mais la solution viendra peut-être d’un développement plus conséquent encore des ventes de l’une ou de l’autre des cousines, sachant que Peugeot fait en ce moment son possible pour faire par exemple assembler sa 301 en Afrique du Sud. On sait depuis longtemps le potentiel énorme de l’Afrique.