Il est vingt-deux heures, l’essentiel de nos journées est derrière nous, il est temps de nous poser. Et que ça saute !
Une Ferrari ne serait plus une tout à fait une Ferrari parce qu’elle aurait droit à une transmission intégrale, pire, à une forme de break de chasse, comme l’imminente remplaçante de la 612 Scaglietti ?
Lotus aurait perdu son âme en faisant prendre du poids à ses futurs modèles (avant qu’ils ne finissent par en reperdre inévitablement) ? Pire, le fondateur de la marque n’en dormirait plus, se tournant et se retournant dans sa tombe ?
L’électricité débarquerait en masse dans le sport auto, nous privant de bruits stridents, comme si les voitures électriques étaient absolument silencieuses…
Et la Formule 1, mon vieux, t’imagine : un moteur bientôt 4 cylindres (demandez donc l’avis de Ferrari), une cylindrée ridicule, un turbo qui souffle comme dans les années 80 ?
J’arrête là le massacre tant le puritanisme, dans l’automobile, comme dans l’ensemble de la société actuelle veille encore et toujours au grain.
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