Il est 22h, l’heure de mourir n’est pas toujours la bienvenue.
Des écrivains connus, morts au volant ou à bord d’une automobile, ne furent pas rares, surtout tout autour des années 60. On peut ainsi mentionner Albert Camus, qui trouva la mort dans un accident à bord d’une Facel-Vega conduite par son ami Michel Gallimard. Dresser une liste exhaustive de ces écrivains hommes et femmes morts dans un accident automobile n’aurait donc que peu d’intérêt. Pourtant, c’est bien ce pré-texte d’une mort au volant ou à bord d’une automobile que j’ai retenu pour évoquer ici Jean-René Huguenin.
Car en cette période estivale, pour changer d’un Gavalda (Anne, évidemment) ou d'un Levy (Marc, évidemment), peut-être pourrions-nous nous intéresser (lire, relire, réfléchir) aux livres de Jean-René Huguenin, justement mort prématurément au volant. Ce qui nous permettrait de nous intéresser aussi aux livres, par exemple, de Sollers puis, de fil en aiguille, à tout ce qui gravita autour de la revue Tel Quel et même, à peine plus tard, de la revue TXT.
Qu’en dirions-nous ?
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