Il est vingt-deux heures ce soir comme hier soir, l’heure est aux chicanes mobiles ou statiques, c’est Minuit chicanes.
Quels retournements de situation vous avez opérés, pour certains, par vos commentaires ! toujours adéquats ! toujours « présents » tout au long de cette semaine placée sous les auspices du dernier livre de Giorgio Agamben publié en France, Opus dei.
Et ce n’est pas l’infime baisse de régime dont vous avez témoigné le mardi 21 février dernier (est-ce par qu’il y était question de sport automobile GT, qui ne vous intéresserait pas ? est-ce parce que le titre n’était pas assez… bon ? est-ce parce que nous étions repus ?) qui m’empêche de vous trouver formidables.
Et parce qu’il faut bien une fin à cette série, la voici. Heureux hasard, dans les dernières pages de son livre, Agamben évoque un certain Benz, Ernst Benz. Et un livre de Ernst Benz, Marius Victorinus und die Entwicklung des abenländischen Willensmetaphysik. Avis aux amateurs de traduction, car c’est à n’en pas douter un livre à traduire en langue française.
A la semaine prochaine.
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