Renault se découvre ces jours-ci. Après avoir découvert les premières images de la toute nouvelle Wind, voici venir celles de la nouvelle Mégane Coupé-Cabriolet. Cette nouvelle déclinaison de la Mégane sera dévoilée dans le cadre du prochain Salon de Genève (elle sera présentée en même temps à l’Atelier Renault sur les Champs-Elysées de Paris) et nous avions déjà eu le droit à un teasing (un seul, souligons-le, car certains constructeurs ont tendance à user et abuser du teasing… seraient-ils à la recherche de l’os ultime ?) à partir duquel nous avions pu fantasmer (grave) chaque nuit qui nous aura séparé de la prochaine (de vendredi à samedi : cela tombe bien pour la plupart c’est week-end… et il n’y a pas encore de rendez-vous nocturne sur Caradisiac avec Minuit Chicane (une rubrique à venir très bientôt)).
Mais revenons donc (je pallie ou comble en fonction de votre état d’esprit le vide du communiqué de presse comme je peux) à cette nouvelle Mégane Coupé-Cabriolet. Car je fais du mauvais esprit lorsque j’ose prétexter un vide du communiqué qui n’existe pas pour étaler en long et en large le rapport obscène que j’entretiens avec mon clavier.
Car le communiqué de Renault nous apprend au fait beaucoup de choses. Vous allez comprendre, entre les lignes, comme nous tous.
L’auto « est fabriquée à l’usine Renault de Douai en France ». Sous-entendu, celle-ci ne sera pas fabriquée « abroad ». Commercialisée au printemps 2010, la Mégane Coupé-Cabriolet propose « un châssis rigidifié et une nouvelle direction assistée électrique ». Il faudra vérifier cette rigidité volant au mains.
Le toit rigide escamotable en verre est proposé de série. Il offre une surface de transparence de 0,47 m2. La cinématique de ce toit rétractable en deux parties est assurée par un mécanisme électro-hydraulique entièrement automatique. Par un appui sur la commande dédiée, le conducteur peut découvrir l’habitacle en 21 secondes. Notons que l’auto est dotée d’une vitre coupe-vent fixe de série. Longue de 4485 mm, la Mégane Coupé-Cabriolet se veut également pratique en plus d’être dédiée au farniente : 417 dm3 en coupé et 211 dm3 en cabriolet, voilà le volume d’un coffre dont le seuil est situé à 590 mm du sol et qui permet selon Renault d’y charger trois bagages cabine côte à côte. Un jour viendra, quelqu’un vérifiera.
Côté motorisations (j’expurge ici la liste des équipements et m’en excuse), la palette est large et le plus grand nombre devrait y trouver son compte. En essence, voici les 1.6 16v 110 ch, associé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports, TCe 130 Turbo Control Efficiency, couplé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports, 2.0 16v 140 ch proposé avec une nouvelle transmission continûment variable CVT. En diesel voilà le dCi 110 FAP disponible avec la toute nouvelle transmission automatique six rapports à double embrayage EDC (Efficient Dual Clutch) ainsi qu’avec une boîte de vitesses manuelle à six rapports, le dCi 130 FAP associé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports, le dCi 160 FAP proposé avec une boîte de vitesses manuelle à six rapports.
Question : à quand une version (finition) Gordini ? Sinon, pour toutes les questions d'ordre esthétique, place au débat, démocratique, ci-dessous.
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