Dans le cœur de tous les amoureux de la marque, la Diablo n’a pas effacé la Countach, mais elle se place sur le même rang d’égalité mystique et légendaire que son aînée.
En effet réputée pour être une auto pas vraiment facile, ni franchement conciliante, on ne sait toujours pas pour qu’elle utilisation précise elle avait été conçue : pour les petites routes ? Trop encombrante, et très sous-vireuse dans le serré. Pour le circuit ? L’endurance toute relative du freinage limitait immédiatement le conducteur...
Bref c’est pour toutes ces raisons qu’on aime tellement la Diablo, bestiale et méchante, ses défauts d’auto exigeante la rendent fascinante et intimidante. Et son évolution VT (4 roues motrices) était essentiellement un argument commercial pour rendre l’auto plus docile aux yeux de ses acheteurs potentiels.
Même si à l’époque le discours chez Lamborghini était clair « Ce n’est pas parce que la VT est équipée de 4 roues motrices qu’il faut espérer jouer avec sur la neige »…
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