Si vous pouvez qu'en terme de préparation les norvégiens sont les plus extrémistes de la planète, il ne faut toutefois pas oublier les australiens. Des milliers de kilomètres les séparent, mais bien des points communs les rassemblent.
Il y a d'abord cet amour de la fumée, cette dépendance aux hurlements de moteur et cette arthrite de la cheville droite généralisée soudant la pédale au plancher. Mais à l'autre bout de la planète, on y ajoute cependant un petit truc supplémentaire qui fait la différence : quand on voit des flammes sortir des ailes arrière, de la fumée s'échapper du capot avant ou le train arrière dépasser le train avant, on en rigole et on continue d'écraser l'accélérateur jusqu'à ce qu'un pompier vous tape sur l'épaule.
Powercruises australiennes : le best of des crashs, flammes et autres explosions de moteur de 2010
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