La REDACTION DE CARADISIAC NE SE CONTENTAIT PAS DE REALISER DES ESSAIS. POUR VOUS AIDER A BIEN CHOISIR VOTRE PROCHAINE VOITURE, L'EQUIPE D'ESSAYEUR ABORDAIT DES SUJETS D'ORDRE PLUS GENERAL. A L'OCCASION DE LA NOUVELLE ANNEE, CARADISIAC PLANIFIAT LE CALENDRIER DES NOUVEAUTES DES 12 PROCHAINS MOIS.
L' alfa 147 était récompensée et élue voiture de l'année 2001. Le turbo diesel 1.9 JTD sortait avec une puissance de 110ch. La version 5 portes particulièrement élégante avec ses poignées dissimulées dans les montants complétait la gamme.
Les poignées de portes arrières, également masquées dans les montants de portières de la 156, était restylé à l'automne. Un véhicule qui remportait en 1998, le titre de voiture de l'année.
Audi lançait sa nouvelle berline A4 alors que la précédente était âgée de 6 ans. Le break nommé Avant était prévu au catalogue lors du Salon de Francfort. Le diesel 1.9 Tdi se présentait avec des puissances de 100 et 130ch et le V6 2.5 Tdi dans des variantes de 155ch et 180ch. Le constructeur misait sur l'A2 et la déclinait avec un diesel 3 cylindres de 75ch. Au sommet de la gamme, l'A8 arrivait dans une version survitaminée dont le V12 développait 420 ch. Le TT roadster devenait plus accessible avec un prix d'accès de 30 000 euros par la présence du modeste 1.8 turbo essence de 150ch.
Avant l'officialisation d'une petite BMW, la porte d'accès tarifaire chère à l'hélice s'élevait désormais à 130 000 francs. Elle était représentée par une nouvelle Série 3 Compact, raccourcie de 28 cm comparée à la Série 3. Une 316ti 1.9l de 116ch, une 325ti V6 2.5 de 192ch et une 320d de 136ch était disponible à la vente dès son lancement. La version radicale de la série 3 (M3) était reconduite dans sa variante décapotée. La série 7 apparaissait sous sa quatrième génération, tout en étant le premier modèle de la marque sous l'ère de Chris Bangle.
Le groupe Daimler Chrysler présentait son Voyager sur le vieux continent. Caradisiac évoquait plus un gros restylage qu'une réelle nouveauté. Nous retenions la venue d'un 2.5 turbo diesel à common rail. Chrysler offrait deux nouvelles motorisations essence à son monospace : un 4 cylindres 2.4 de 150 ch et un 6 cylindres 3.3 de 180 ch. L'arrivée du cabriolet Sebring permettait de remplacer avantageusement la carrière discrète de la Stratus Cabriolet. Chrysler, satisfait du démarrage commercial du PT Cruiser, prévoyait en fin d'année ou début 2002 un bloc turbo diesel signé Mercedes.
La C5 de première génération venait sur nos routes au printemps, moyennant un chèque d'un montant minimum avoisinant 170 000 francs, avec des motorisations haut de gamme : un 2.2 Hdi de 136ch et un V6 3.0 essence de 210 ch. La version break dit Tourer, un peu moins fade avec ses feux arrières verticaux débarquait six mois plus tard. Le Picasso, premier du nom, ne connu pas le 2.0 Hdi en version 110ch. L' Evasion attendait sa remplaçante : la C8.
Le constructeur coréen retouchait subtilement son modèle à succès : la Matiz. Le Rezzo, monospace compact de la marque bénéficiait d'un turbo diesel de 105ch d'origine Renault.
Fiat intégrait un ludospace dans sa gamme sous l'appellation Doblo. Il nous présentait les remplaçantes des Bravo/Brava par une seule dénomination commerciale lors du salon de Francfort. Le grand monospace Ulysse guettait son ascendant.
Ford présentait la cinquième génération de sa fiesta. Elle s'inspirait du style de la Focus et la finition progressait réellement. La compact avec une gamme presque au complet n'attendait plus que sa version sportive : la RS 200. Le constructeur programmait un 2.0 Tdci 130ch pour sa récente Mondeo II.
La marque Honda misait beaucoup sur la Civic de septième génération et ses 1,50 m de hauteur, découverte lors du Salon de Paris 2000. Sa ligne et son plancher plat rappelaient les caractéristiques des monospaces compacts. La version 3 portes, plus basse, restait plus convenue dans son allure. Le lancement du Stream, monocorps à sept places, avait pour mission de concurrencer le Zafira, alors seul monospace compact équipé d'une seconde banquette.
Le grand monospace Trajet et le 4x4 Santa Fe disposaient dorénavant d'un moteur turbo diesel 2.0 CRDI de 112ch. Les variantes s'élargissaient avec les apparitions du monospace Matrix, du 4x4 Terracan et le renouvellement de son coupé.
Le groupe Ford imaginait de bons résultats à l'idée de vendre une familiale de luxe et décidait de produire la Jaguar X-Type. Elle avait pour elle un design élégant, une transmission intégrale, des motorisations V6 et des tarifs très étudiés. Dès 2003 la marque anglaise envisageait des motorisations diesel.
Lancia comptait sur sa prochaine Kappa et ses tendances néo-rétro pour relancer la catégorie des grandes routières et retrouver de son prestige. Baptisée Thésis et non Aurelia comme certaines rumeurs l'annonçaient, elle s'inspirait du concept Dialogos. Ses équipements high tech de l'époque et ses moteurs de pointe dont un V6 turbo diesel étaient très attendus.
Le groupe Daimler Chrysler prévoyait une pluie de nouveautés pour le constructeur de Stuttgart. Le début de carrière de la Classe C Coupé Sport, le lancement de la Classe C Break, le restylage de la Classe A et l'arrivée de la version allongée dite Family. La fin de l'année était marquée par un véhicule de loisir concurrent du Kangoo : le Vaneo dont le prix d'appel approchait les 120 000 francs. L'élégant SL revenait sous une seconde mouture avec un toit rigide escamotable comme son petit frère : le SLK.
La légendaire Mini revenait sous la marque Mini du groupe BMW le 11 septembre 2001. Elle n'accueillait à ses débuts qu'un seul moteur sous deux puissances : 90 ch pour la One et 115 ch pour la Cooper. John Cooper décédait le 24 décembre 2000.
Le X-Trail, 4x4 compact de loisir et principale nouveauté du constructeur japonais, se présentait sous sa forme définitive. Il était vendu dans un premier temps sans motorisation diesel et concurrençait les Toyota Rav 4, Land Rover Freelander et Renault Scénic RX4.
La filiale allemande du Groupe General Motors lançait au printemps la version cabriolet de l'Opel Astra. Elle portait la griffe Bertone. La vectra de 3ème génération attendait le salon de Francfort pour se dévoiler. La commercialisation démarrait l'année suivante.
Peugeot misait sur la 307 pour relancer les ventes du segment en espérant au passage détrôner la reine Golf. A son lancement les motorisations essence comprenaient les 1.4 (75ch), 1.6 16V (110ch) et 2.0 16V (137ch), toutes déjà proposées dans la 206. Le gros des ventes était prévue par l'arrivée en fin d'année d'un 2.0 Hdi 110ch équipé d'un filtre à particules dont la première mondiale était développée sur la 607. Déjà adapté dans les 406 et 607, le 2.2 HDi était désormais disponible dans la gamme du 406 coupé. Dans la catégorie des breaks et monospaces, la 307 par sa troisième rangée de sièges était attendue. L'arrivée de la 206 Sw n'avait pour concurrente que les Skoda Fabia Combi et Fiat Palio Weekend. Le 807 était présenté lors du dernier trimestre avant une commercialisation en 2002.
Le constructeur au losange lançait sa nouvelle signature publicitaire : «Créateur d'automobile» et s'attaquait à une riche année avec sa nouvelle présentation de haut de gamme. L'étrange Vel Satis avec ses lignes et sa hauteur inhabituelle et le «coupéspace» Avantime étaient tous les deux des concepts inédits mais leurs lancements trop rapprochés et leur styles inclassables se sont soldés par des échecs commerciaux. La Clio s'offrait une nouvelle identité par son restylage concernant principalement sa face avant. Le Kangoo arrivait dans une version à quatre roues motrices au profit du 1.6 16V dégonflé à 95ch.
Le développement de la gamme Rover 75 intervenait par l'arrivée d'une version break sous le nom commercial Tourer.
Les motorisations 100% essence de la Saab 9-5 et les ventes confidentielles incitait le constructeur Suédois à produire un V6 turbo diesel de 170 ch d'origine Isuzu.
L'Arosa, homologue de la Lupo s'offrait une seconde jeunesse. Les principales évolutions des véhicules de la marque étaient mécaniques. Le 1.9 Tdi 150ch animait la Leon mais aussi la Toledo.
Baptisée Combi, la Fabia, sous sa nouvelle carrosserie break apparaissait en début d'année. Une version sport dénommée RS proposant 180ch et quatre roues motrices prenait place dans la familiale Octavia.
La Yaris recevait une version TS (Toyota Sport) mais Toyota proposait surtout un nouveau diesel à injection directe et rampe commune sous des puissances de 90 à 150 ch vendu sous le sigle D4-D. Allait être concernés, les modèles : Corolla, Rav 4, Previa et Yaris.
La S60, rivale des familiales premium germaniques, dévoilait un 2.5 turbo diesel de 5 cylindres développant 163 ch. Le break V70 et la grande routière S80 allaient aussi en tirer profit.
Un cinq cylindres de 170ch et une déclinaison de 130 ch du 1.9 TDI arrivaient dans les dernières offres de la compacte Golf et sa déclinaison à coffre : la Bora. La version Cabriolet de la New Beetle se faisait désirer après l'arrivée prochaine d'un 1.9 Tdi 100ch à injecteur pompe. La polo de quatrième génération s'apprêtait à relancer sa carrière. Elle reprenait la plate forme de la Skoda Fabia. La Passat gagnait un V8 et quatre roues motrices dont la puissance atteignait 275ch. Ferdinand Piech programmait une berline prestigieuse sous le code D1 dont le nom Phaeton incarnait la fierté du groupe mais ses prix dissuasifs, son air de grosse Passat, son poids élevé et son logo l'ont vite desservi.
Le calendrier des nouveautés 2001 :
Janvier |
Février |
Mars |
Avril |
Mai |
Juin |
Alfa Romeo 147 5 portes |
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Daewoo Matiz (restylage) |
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Renault Clio (restylage) |
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Renault Vel Satis (présentation) |
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Volvo S60 2.5 D |
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Juillet-Août |
Septembre |
Octobre |
Novembre |
Décembre |
Rover 75 break |
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Toyota Rav 4 D4-D |
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Mercedes Classe A (restylage) |
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Saab 9-5 V6 turbo diesel |
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