On a souvent reproché à Audi d’être conservateur en termes de design. Depuis l’arrivée de Marc Lichte à la tête du département, les choses bougent. Lentement mais la tendance est claire. La nouvelle A4 est le reflet de cette nouvelle politique avec des lignes dans la continuité des précédentes générations mais qui rompent tout de même avec le classicisme habituel de la marque aux anneaux. Plus de dynamisme, c’est un peu le mot d’ordre de cette nouvelle A4 avec des nervures sur le capot ou des lignes plus marquées. Les dimensions restent stables avec une longueur de 4,73 m.
Dans l’habitacle, la plus grosse surprise provient de la présence du Virtual Cockpit, inauguré sur le TT. Le conducteur aura face à lui une instrumentation 100 % numérique qui pourra être remplacée par l’écran de la navigation. L’écran multimédia s'élargit et la commande du MMI se positionne désormais devant le levier de vitesses pour améliorer l’ergonomie. Rien à redire concernant la qualité des matériaux ou l’assemblage, toujours aussi irréprochable. Sans surprise, elle fait le plein en matière d’équipement avec par exemple un système de conduite prédictive tout juste inauguré par le Q7 qui constitue une sorte de conduite autonome. On trouve aussi un régulateur de vitesse adaptatif, l’affichage tête haute, etc.
Audi a aussi particulièrement travaillé sur la mécanique avec par exemple un allégement global pouvant aller jusqu’à 120 kg suivant les versions. Le catalogue des motorisations comprendra, en essence, le 1.4 TFSI 150 ch, le 2.0 TFSI 190 et 252 ch. En diesel, le 2.0 TDI 150 et 190 ch ainsi que le 3.0 TDI 218 et 272 ch.
La commercialisation interviendra au mois de novembre prochain et l’essai complet sera à lire dès la veille du salon.
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