J’ai bien l’air malin encore une fois… Je vous avais promis un compte rendu du Slick 2008 où quatre exemplaires exemplaires de lowriders devaient être exposés. Bien parti pour accomplir ma promesse (tel un candidat aux élections locales plus tard appelés aux plus hautes fonctions républicaines puisqu’il en faut bien pour se dévouer… n’est-ce pas ?), vendredi en début d’après-midi je me rendais au Slick 2008 dans ce lieu récemment ouvert à Paris, rue d’Aubervillers, le centquatre.
Croisant quelques Mini Clubman estampillées « Fiac 2008 » (eh oui…), une nouvelle fois je me voyais marqué au plus profond des tréfonds de mon cœur autrefois encore affecté par un funeste romantisme, j’étais, exprimais-je, saisi par la perspective de cette magnifique rue d’Aubervilliers entamée à contre-sens de la circulation automobile. Bien m’en prenait d’être saisi à ce point car : ça caillait tout de même grave en ce début d’après-midi. Froid aux miches qu’il avait le Ririus. Bref.
Arrivé au centquatre, je découvrais pour la première fois un lieu dénoué d’âme (auquel Lautréamont aurait sans doute réglé son compte en deux phrases sans recourir aux « sévères mathématiques »). Bon, et ensuite ? Les caisses, elles sont où ? Ben, c’est justement la question que je me suis posé. De caisses il n’y en avait que deux. Deux au lieu de quatre, me voilàtissais pas comme un c.. Dont une sublime, je vous l’accorde. Seulement, à suivre ce lien, celui qui mène vers les animateurs de l’espace réservé aux lowriders, vous découvrirez, comme moi, qu’une troisième apparue en cours de cérémonie. Eh oui, le Slick c’est comme ça : ça bouge en permanence…
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