Ne vous y détrompez pas, Seat n’a apporté aucune évolution à sa citadine, qui n’en avait pas foncièrement besoin au regard des mix possibles entre moteurs modernes (TSI et TDI) et transmissions. (BVM ou DSG). Avec cette offre Seat couvre tous les besoins du segment. Seuls les blocs 105 ch diesel et essence seront désormais disponibles en version FR. Nous avons pu d’ailleurs apprécier la souplesse et la vigueur du petit TSI 105 ch qui colle a la philosophie de l’Ibiza. Ce dernier brille également pas sa discrétion, sa sobriété (5l/100km : conso relevée durant notre essai)et surtout son exonération de malus.
La petite Ibère, reprend les mécaniques communes au groupe VW avec en tête de gondole le 1.6 TDI 90 ch, polyvalent, économique et neutre au malus. Les plus pressés auront le loisir d’opter pour le TSi 150 ch, très efficace avec la boite à double embrayage DSG7 et particulièrement bien mis en valeur avec le châssis sport. Car l’Ibiza a le sang chaud et vous gratifie d’une tenue de route très réactive. On aime particulièrement la direction assistée électro-hydraulique de série dynamique et directe. Les suspensions sont fermes mais la citadine n’est en aucun cas inconfortable. Au final, Seat a conservé une synthèse orientée vers le dynamisme et l'équilibre. Alors pourquoi changer une équipe qui gagne ?
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