Avec une ligne qui change radicalement, quelques moteurs inédits compétents, voire ébouriffants comme le 1.9 TD 150 chevaux, une finition remarquable, et surtout grâce à un contenu technologique étourdissant côté châssis, la nouvelle Astra fait une entrée fracassante dans le concert des berlines moyennes.
En reprenant des solutions empruntées à de rares coupés ou aux limousines de prestige, elle devient la reine de la techno pop. Entendez qu’elle démocratise, popularise, les techniques avancées. Une manière comme une autre d’afficher ses prétentions dans un segment où l’offre abonde plus qu’ailleurs, d’émoustiller l’acheteur qui tient encore Opel pour un constructeur généraliste relativement anonyme, sans panache. Le coup est bien joué, d’autant que la nouvelle Astra tient la plupart de ses promesses.
Mégane et 307, Focus et Golf qui caracolaient en tête des ventes en Europe ces derniers temps vont devoir lui faire de la place.
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