Il se pourrait bien que le Rallye de Nouvelle Zélande se soit joué dès ses deux premières spéciales. Par une monte de pneus différente de celle de son rival pour le titre, Marcus Grönholm s’est aménagé le genre d’avance suffisante pour voir venir et mettre la pression sur son adversaire.
Le Finlandais à la Ford a ainsi parié sur une gomme dure tandis que l’Alsacien à la C4 avait joué les tendres. Un choix que le pilote Citroën a payé cash dès l’entame de l’épreuve en prenant pas loin de quinze secondes dans la vue. Certes, les deux spéciales de l’après midi qui ont suivi ont été à l’avantage du Champion du Monde revenu à de meilleures options, mais Marcus n’a pas lâché grand-chose et semble bien installé en tête à la fin de la première étape. Avec treize secondes d'avance.
Les autres n’ont pu qu’observer à distance ce duel, à commencer par les Subaru. Pons est sorti et c’est encore Atkinson qui est le meilleur représentant du constructeur japonais. Car aussi incroyable que cela puisse paraître, Solberg, comme en Finlande et comme en Allemagne, se débat encore avec une Impreza imprécise.
Classement D.1:
Grönholm - Loeb 13" - Hirvonen 49"2 - Atkinson 1'21 - Latvala 1'29 - Sordo 1'33 - Solberg 1'48 - H.Solberg 2'17
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