4. À retenir - les prix : ni bon, ni mauvais

Ne s'agissant ici que d'adopter une nouvelle motorisation, en phase avec les nouvelles normes, le Grand Scénic conserve par ailleurs ses qualités et ses défauts. Il est plutôt bien fait de sa personne. Son look de crossover plaît et il ne fait plus bétaillère comme le Scénic 3. Son habitabilité est bonne, son équipement correct dans cette finition presque haut de gamme Intens, malgré quelques petites lacunes. Et à la conduite, il se défend plutôt pas mal.

Mais en contrepartie, son confort est ferme pour un véhicule à vocation familiale, et ses aspects pratiques sont bons d'un côté (rangements, plancher plat), mais basiques et décevants de l'autre (banquette et non sièges individuels, tablettes aviation en option).

Et ce nouveau moteur, s'il n'est pas désagréable, n'est pas non plus la bonne surprise de l'année. Il n'est ni le plus sobre, ni le plus performant, ni le plus discret. Il est quelconque.

Ce qui fait qu'au final, le Grand Scénic par lui motorisé n'est ni bon, ni mauvais, c'est ce qu'on appelle un élève moyen, qui va loin, mais sans se faire remarquer par des capacités hors norme.

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